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obsession (blanca)

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30.01.16 20:26
† blanca mckinney.
Vous profitez impudemment de ma détresse, monsieur ! Je suis à plaindre, mais pas à vendre !
ton âge : vingt-neuf années au compteur. années oscillantes entre la rêverie de son visage d'enfant emplie d'innocence et celui du diable dont le regard foudroie chaque nuit ces inconnus aux coins des ruelles malfamées.
ton groupe : la manipulation. mot qui lui convient à merveille. mi-ange, mi-démon, surtout prêtresse de l'enfer dans laquelle elle se consume et consume les autres. à tout va. à sa guise.
ton surnom : elle n'a aucun surnom particulier. elle déteste ça à vrai dire. Blanca. c'est court. c'est efficace. ça suffit à la faire réagir. à la faire fonctionner comme une poupée mécanique bien actionnée.
ton job : mêlée à un tas de trafics. les armes d'abord. entourée par ces mafieux qui venaient et partaient. elle, poupée bien ficelée au milieu. assez bonne pour charmer. assez sensuelle pour leurrer les idiots d'en face. son patron l'avait vite compris. pièce irremplacable et bien dressée. elle s'est faite une place dans un monde d'hommes. un monde de brute. puis y a eu le trafic d'organes. plus sanglant. plus dégueulasse. encore plus malsain que tout ce qu'elle avait pu voir. elle s'en tapait bien. le sang coulait. le fric tombait. et tout ça avec lui. c'en était que plus jouissif.
feat : emilia clarke, the one.
statut : mariée à Lloyd. sa moitié. son énergie. le pire. le meilleur. une obsession. une passion à toute épreuve. la folie de leurs corps. la déchéance de cet amour que personne ne comprendrait. Elle l'aime. si fort que parfois, son corps crame à en hurler. le laisser, ressemblerait à un blasphème. c'est lui, c'est elle. c'est eux. à jamais.

the player.
ton pseudo : white moon, cha.
ton âge : vingt-ans.
inventé, pv, scenario ? : scénario.
ton avis sur le forum ? : ouais, faut l'dire, c'est bandant ici.  AAH

tes tics, tes manies, tes envies : facultatif. elle fume comme un pompier. elle est accroc. complètement dopée à la nicotine. elle adore cracher la fumée de la clope avec une sensualité rare. elle fume, elle se bousille les poumons. et dieu que ça fait du bien. lorsqu'elle part revêtir sa carapace de reine des enfers, elle ôte son alliance pour ne pas éveiller les doutes. elle l'attache à une chaîne autour de son cou. et quand le jour retrouve son chemin, elle la replace à son annulaire avec la plus grande des fiertés. il lui arrive encore parfois de se rendre à l'église le dimanche. c'est ridicule. elle comprend même pas pourquoi, parce qu'elle y croit pas à toutes ces conneries. c'est juste comme ça. pour voir ces pauvres gens qui se raccrochent à l'idée que le bouffon là haut, réalisera leurs voeux les plus chers. elle s'est fait graver la date de son mariage avec Lloyd dans la peau. au creux des reins à vrai dire. pour montrer qu'elle lui appartient. qu'il est à lui. qu'elle est sienne. pour l'éternité.

dans tes souvenirs, raconte-nous la première fois où tu as été confronté au « mal ». quelles étaient alors tes options et quel a été ton choix ? ✚ elle avait à peine dix-sept ans la gamine. elle trimait pour s'en sortir. une mère bonne qu'à serrer son chapelet en implorant le retour du mari tant aimé. un salopard qui a cru bon de se tirer sans elles. personne bossait. personne ramenait du fric dans le foyer. alors la poupée avait décidé de se faire ses propres armes. y avait ce type. un soir, une ruelle mal éclairée. il lui a soufflé qu'elle était belle à damner tous les saints de la terre. elle a ricané en pensant à sa mère, trop pieuse. trop ridicule. il lui a proposé un deal. elle jouait de ses courbes pour charmer certains clients, et elle ramassait le fric. un trafic d'armes qui venait de commencer. fallait que ça fonctionne comme le chef l'entendait. alors elle a remonté sa jupe déjà trop courte. elle est entrée dans ce bar. elle a sourit. elle a rougit. elle a charmé. et la machine a entamé sa mécanique macabre. le bien. le mal. y avait plus vraiment de différence pour blanca. elle a très vite compris que le monde, c'était un étau d'égoïsme. chacun pour sa gueule. elle voulait faire valoir la sienne. elle a choisi la mauvaise direction. c'était comme une envolée. comme une surdose d'adrénaline qui lui a donné envie de continuer. encore et encore.  tes choix de vie t'ont-ils déjà apporté des ennuis ? ✚ la question ne se pose pas. en choisissant le mal, elle le savait d'avance. elle a fini par connaître les cellules miteuses par coeur. à peine un banc pour s'assoir. des catins qui attendaient de sortir. ça criait. ça jurait. elle restait calme le plus souvent. y avait tout le temps un avocat rencardé qui débarquait pour l'aider. pour la faire sortir et sauver la peau de son cul. elle s'en fichait bien d'avoir un casier. de sentir les menottes serrer trop fort ses poignets fins. ça l'amusait. elle se gênait pas de cracher des insultes à la gueule des policiers. elle se foutait d'eux avec une aisance pleine d'insolence. son manège suffisait à agacer bien des gens. et plus ils réagissaient, plus elle ricanait. tellement d'audace dans ce sourire angélique. reine des enfers, elle aurait pu l'être sans difficultés. quelle importance accordes-tu à l'humanité dans son ensemble ? comment te comportes-tu socialement ?  ✚ elle n'y accorde aucune importance. à vrai dire, blanca s'est armée de la solitude depuis sa tendre d'enfance. peu d'amis. aucune envie de s'en faire. elle préférait errer sans but, errer sans accroche à qui que ce soit. évidemment, les années ont passé. elle a fini par savoir leurrer les autres. user de son sourire angélique pour faire mine d'être normale. déployant ses ailes de poupée adorable face aux autres. n'hésitant pas à jouer la carte de la gentillesse et de la bienveillance à certaines personnes. tout ça pour mieux enfoncer la lame du couteau dans leur dos. en se mariant à Lloyd, elle a aussi appris à mentir davantage. Jouer la carte de l'épouse modèle devant des collaborateurs. sourires. dîners prestigieux. compliments à la carte. la brune a su prendre sur elle. si fort que parfois, la colère grognait dans ses veines. à un tel point qu'elle avait besoin d'extérioriser cette folie mensongère. en frappant. en criant. en usant de sa chaire contre celle de son époux. fort. toujours plus fort. serais-tu plutôt la « tête » ou la « main » ? ✚ plutôt la tête. beaucoup ne s'en douterait pas. ne voyant en elle qu'un corps atomique. ne voyant que des hanches qui se trémoussent. qu'une bouche (trop) fatale pour ne pas y succomber. pourtant, blanca regorge d'une intelligence rare. d'une perversité qui lui donne envie d'aller au bout des choses. une réflexion et une observation à toute épreuve. elle a su sortir ses pairs de merdes innombrables de part ses qualités. alors aujourd'hui, on lui fait confiance. on se réfère à elle pour user des techniques les plus précises. pour ne pas faire de faux pas. et elle prend un pied fou à les voir l'interroger.  quelles sont tes pires craintes et tes plus grandes angoisses ? ✚ sa pire angoisse se résume à le perdre. lui. son époux. son tout. celui qui sait la faire vivre. celui qui allume la flamme de son corps. de son coeur. celui qui ne néglige pas de l'aimer comme si elle valait tout l'or du monde. celui qui par ses mains sait lui montrer qu'elle est ardente et fantastique. elle l'aime. plus que tout. et parfois, c'est douloureux. cette peur de voir leur mariage se terminer. de le perdre et de retrouver la trace de la solitude dégoulinante d'avant. il a su apprivoiser la belle. lui donner envie de se marier et de se donner toute entière. pour le meilleur et le pire. il n'y a que ça qui compte. ses autres angoisses n'ont aucune importance. dans ces adjectifs, le(s)quel(s) te définis(sent) le plus ? ✚  improvisation, impétuosité, rêverie, instabilité, adaptivité, sens pratique, intuitivité, négligence, gaspillage, passivité, habitude, introversion.
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30.01.16 20:27


be quick... or be dead.


il nous flingue avec ses crocs de velours puis nous fait du gringue quand on appelle au secours.

Au nom, du père, du fils et du saint esprit. amen. Elle entend encore les paroles forcées qui s'extirpent de ses lèvres chaque dimanche. Quand elle se voit forcée d'accompagner sa mère à l'église. C'est ironique quand du haut de ses dix huit-ans, elle n'a plus rien d'une sainte. Sa virginité emportée par un salopard – qui n'a même pas su la baiser dans les règles de l'art. Son innocence, elle n'existe plus depuis que Blanca a pris le chemin du mal. Des trafics. Depuis que les mafieux du coin sont devenus ses maîtres. Elle s'est fait une place. Une vraie. En un an de temps, elle est presque devenue indispensable à Alfio, un trafiquant tout droit venu d'Italie. Il lui a fait confiance. Elle lui a bien rendu. La preuve en est. Un gros deal ce soir. Le poisson est présent dans ce bar qui fait office de lieu d'escale pour les trafics. Dedans y a ce type. Il a cru pouvoir la mettre à l'envers à Alfio. Il se doute pas qu'il a tout découvert et que ce soir, ça va être la fin. Blanca est présente. Assise tout proche de l'homme. Elle laisse son index naviguer à la surface du verre de bourbon. Lui n'a d'yeux que pour elle. Il pourrait la bouffer sur place. Elle le laisse croire qu'il va la gagner. Qu'il aura le droit de la baltringuer dans une chambre miteuse. Elle pose une main sur la cuisse du type, la fait remonter à mi hauteur du pli de l'aine. Elle esquisse un sourire malicieux et mordille son oreille en se faisant plus sensuelle que d'habitude encore. « Tu devrais me suivre moi et oublier cet imbécile d'Alfio. Tu finiras dans le caniveau comme toutes ses autres poupées. » Lui crache-t-il avec une détermination rare. Elle commence à fulminer. On touche pas à son chef. On touche pas à celui qui lui a sorti le cul de la merde. Elle supporte pas qu'on cherche à lui dicter sa conduite. Encore moins qu'on se permette de se croire au dessus de tout. Elle fait mine de rien pourtant. La gamine se lève et lui souffle qu'elle revient. Elle se faufile dans l'arrière-bar. Y Alfio prêt à intervenir. Y a deux autres hommes qu'elle a croisé deux-trois fois. Son chef la félicite et lui dit que que le connard dans la salle va bientôt mordre à l'hameçon. Le goût du sang et de la vengeance grimpent à une allure déconcertante chez la demoiselle. Sans prévenir personne, elle attrape le flingue à la ceinture d'Alfio. Son sourire devient diabolique. Elle le fait tournoyer entre ses phalanges et se casse. Le chef n'a même pas le temps de réagir. Elle cache l'arme dans son dos et revient vers l'homme. « J'ai appris quelque chose aux côtés d'Alfio, tu sais. » commence-t-elle à dire en se rapprochant de lui. Elle frôle ses lèvres à nouveau. Elle sourit. « On ne trahit pas les siens. » Et sans attendre l'approbation du chef, elle pose l'arme sur la tempe du mec. Elle tire à bout portant. Bang, bang. Le sang coule. Les morceaux de chaires se font la malle. Quelques tâches rougeâtres se retrouvent sur le visage de poupée de Blanca. Elle sent sa respiration s'accélérer. Elle réalise qu'à moitié qu'elle vient de buter un intrus. Ça lui est pas encore arrivé. Elle a côtoyait la mort jusqu'à maintenant sans la porter. Elle se recule. Lâche le flingue. Alfio arrive. Il observe les dégâts causés par la brune et sourit. « Tu ne pouvais pas mieux faire. » Dit-il avec une fierté rarement égalée. La demoiselle reste pantoise. Sa poitrine se soulève à une vitesse hallucinante. Les mouvements de sa cage thoracique deviennent douloureux. Mais elle se sent forte. Elle se sent prête à affronter d'autres cadavres. À voir le sang couler, encore, encore et encore. Toujours plus.

rouge piment timides brulants, malhabiles adolescents, rageusement posés. sans rancune et sans succès.

Les talons de la brune claquent sur les pavés. Un. Deux. Trois claquements, puis ils s'en vont. Elle avance d'un pas déterminé. Son regard clair se pose sur la grande résidence. Passer d'un appartement qui puait la moisissure à un tel endroit. Y a de quoi bander. Elle a encore parfois du mal à y croire. Elle se dit que c'est mérité. Que c'est pas arrivé comme ça. Elle se dit que sa rencontre avec Llyod, ça a été sa sortie de secours. La clé à un re-nouveau. Tomber amoureuse, ça la faisait marrer. Autant marrer que le désarroi que l'amour avait causé chez sa pauvre mère. Oh seigneur, fais le revenir. Lui, mon amour. Le seul. L'unique. C'est ce que la pauvre idiote se répétait. Sans que le connard de là haut ne l'écoute. Touchée, surtout coulée la vieille bique. Avec lui, tout est différent. Les sourires. Les disputes. Les cris. Les retrouvailles. La chaleur. Les baisers. Leurs corps collés. Tout. Absolument tout. Elle se dit qu'elle a tiré la carte du roi, pour devenir sa reine. C'est fusionnel. Chaud. Brûlant. C'est parfois agaçant et parfois rythmé par des disputes. Des disputes qui se soldent rapidement par des retrouvailles enflammées. Bouches contre bouches. Peau contre peau. Ça devient suave. Excitant. Ça vient ravager chaque parcelle de chair. Elle attrape un mégot dans sa pochette. Elle l'allume et la nicotine vient rendre amer ses lèvres rougies. Elle fume, ça l'apaise. Après cette énième nuit à laisser le crime régner dans sa vie. Un pauvre con de plus tombé dans ses filets qui a trouvé la mort sur un brancard bancal. Un trafic d'organe de plus au compteur. Elle y prend plaisir. C'est jouissif. La fumée se dégage de sa bouche dans la froideur de la nuit. La lumière de leur chambre est allumée. Il est là. Il est rentré. Il était pas sur le coup cette nuit, retenu pour une affaire à la con. Il lui a manqué. Tellement que sa peau l'appelle presque au secours. Tellement que son cœur crie son nom dans la pénombre. Alors elle se dépêche de tirer sur sa clope pour gagner au plus vite la grande baraque. Ses talons s'affolent. Autant que ses courbes. Elle entre. Son long manteau tombe au sol. Ses escarpins se perdent sur les marches qu'elle gravit à vitesse grand v. Elle arrive dans la chambre. Il est là. Assis au bord du lit. Chemise à moitié ouverte. Cravate encore attachée. Elle esquisse un sourire quand il l'observe. Personne ne la regarde ainsi. Personne ne la fait devenir déesse en un coup d'oeil. Il est beau. Il est charmeur. Son charisme le rend unique. Elle se pince la lèvre et ne dit rien. Mutique. Surtout féline. Elle se rapproche de lui et fait face à ce dernier. Il pose une main le long de sa hanche. Un simple contact qui la fait frissonner. Elle lâche un soupire et laisse ses doigts se déployer dans la chevelure brune de Llyod. Une caresse d'abord tendre qui devient une poigne. Elle attire sa tête en arrière et ses lèvres viennent effleurer l'échine de son cou. Elle la mordille même puis vient par happer la bouche de son époux dans un élan de folie. Il est sa folie. Il est son tout. Elle crèverait pour lui. Elle crèverait pour eux. Se plaçant à califourchon sur lui, elle défait la cravate de l'homme et la balance à terre. La chemise de ce dernier suit le même chemin. Puis sans réfléchir, ses mains repoussent ce dernier contre le lit. Elle effleure sa peau. L'embrasse à en perdre haleine. Elle cherche le contact de l'homme comme pour rattraper les quelques heures de séparation. Il la rejoint dans ces retrouvailles enflammées. La passion vient se dégager de leurs corps. Les fringues volent par terre. Ils ne font plus qu'un. Ça tangue. Ça cogne. Elle soupire. Il lâche des râles à la hauteur des sensations nirvanesques. Elle soupire son prénom. Un prénom qui fait écho dans la pièce échaudée. Les perles de sueur trouvent naissance sur leur peau. Puis dans un sursaut final, elle mord sa lèvre au sang. Tant c'est bon. Tant c'est fort. Tant c'est eux. Quand les deux retombent sur le lit, elle tremble presque. Elle vient se blottir dans ses bras. La passion se fait remplacer par mère tendresse. Elle le fixe. Sourit. Ferme les yeux. Et pose son oreille contre le cœur de son époux. « Je t'aime. » C'est uniquement ce qu'elle trouve la force de soupirer. Puis elle s'endort. Heureuse. Rassurer. De l'avoir retrouvé lui. Son unique. Son bel amour.
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30.01.16 20:30
Putain, comme déjà j'suis tombé amoureux de toi. :bed:
On va faire un duo d'enfer, mon ange. :keur:
Merci d'être là, bienvenue chez toi, et bon courage pour ta fiche. Ma boîte mp t'es entièrement ouverte, pour des questions, discuter, ou envisager de futurs rps. :perv:
Naveen Pravesh
The badder they are, the bigger the reward.
Naveen Pravesh
CARTOUCHES : 342


Bang bang.
TON JOB:
TON AGE:
TES ENNEMIS, TES ALLIES:
30.01.16 20:33
Quel choix incroyable :dead: pour le pseudo, l'avatar et le scénario :hrt:

Hâte de voir ce que vous allez nous faire comme histoire tous les deux, ça promet :brill:

Bienvenue la miss ! :uhuh: :hrt:
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30.01.16 20:56
llyod + merci à toi d'avoir crée une telle merveille. :aah: Je n'hésiterai pas pour les mps. :perv: obsession (blanca) 2852843284 en espérant que l'interprétation du personne te conviendra. koeur

valery + rdj, quel choix. I love you merci pour tous ces compliments qui font chaud à coeur. :aah:
Invité
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30.01.16 21:15
Si ça peut te rassurer, tu es exactement ce à quoi je rêvais dans mes fantasmes les plus doux. obsession (blanca) 3210751047 :dead: Je suis fan, fan, fan et ... attends ... encore plus fan ! En plus ton écriture, bowdel. :face:
Franchement, vite, vite, je veux écrire avec toi, je veux brûler d'amour avoir toi. :brill:
Invité
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30.01.16 21:26
tu m'en vois ravie. :brill: J'me grouille mes miches devant tant d'inspiration et me met à l'écriture de la dernière anecdote pour qu'on puisse passer aux choses sérieuses. AAH
Grim Cole
let's chase the dragon in my own way, would you ? ☯
Grim Cole
CARTOUCHES : 704


Bang bang.
TON JOB: proxénète de génie.
TON AGE: trente-neuf balais.
TES ENNEMIS, TES ALLIES:
30.01.16 21:57
My mistake, je vais laisser ce cher Lloyd valider ta fiche :)

Bienvenue parmi nous au passage, je pense que tu vas ravir quelqu'un :brill:
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30.01.16 22:06
Que dire, que dire.  obsession (blanca) 3210751047
Je suis encore sous le charme de ma lecture. Une tuerie de fiche que tu m'as fais là, et une tuerie de personnage aussi, et franchement j'en perds mes mots.  :stp:
D'ailleurs, je ne vais rien dire d'autre que : je te valide. Et tu sais pourquoi ? :perv: Parce que je suis en train de te pondre un petit rp qui t'attend bien au chaud d'ici quelques minutes (une heure ? Arrow).
Bienvenue chez toi, et j'te préviens, je ne te laisse plus filer.  :bed:  
Maintenant que tu fais officiellement partie de notre grande maison ( moustachio  moustachio approuve), j'te donne des petits indices pour savoir quoi faire maintenant, et ce que le grand terrain de jeu de notown blues met à ta disposition. :keur: Déjà, je te conseille d'aller lire les annexes si ce n'est pas fait, ainsi que les les règles de mr le maire, ça t'aidera à t'imprégner de l'ambiance :face:. Ensuite, si tu veux te faire plein d'amis (et de bons ennemis surtout  obsession (blanca) 3859208376 ), il faut aller poster une petite fiche de lien. Et puis si vraiment t'es hyper pressé et que t'es un sacré joueur, il y a la loterie des rps, hyper pratique pour écrire vite et en excellente compagnie. :perv: Plus classique, tu peux demander un rang, un lieu auquel on n'aurait pas pensé, un logement et puis créer ton petit scenario. Voilà, t'as tous les éléments...

Que ton voyage commence.  :rip:
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30.01.16 22:09
grim + mais quel choix. obsession (blanca) 3210751047 c'est la folie sur ce forum, niveau originalité. :3 merci à toi. :brill:

llyod + tant de compliments. :aah: Je suis si contente que tout te plaise et en plus un rp à la clé qui arrive, quelle chanceuse je suis. obsession (blanca) 3210751047 :brill: Hâte de lire ça et t'en fais pas, aucun risque de me voir filer. :angry: :lovu:
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30.01.16 22:22
Ce scénar', je lui ai tourné autour avant de repartir sur mon tout premier choix ! bienvenue par ici ;)
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