sombre
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it's a beautiful disaster. (noé)

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30.01.16 19:35
† noé hopkins
silence like a cancer grows.
ton âge : Vingt-deux ans. Vingt-deux putains d'années que je supporte cette traitre d'existence. Cette garce, cette chienne. C'est beaucoup, vingt-deux années. Ça ressemble à quelque chose comme... L'éternité.
ton surnom : Un surnom ? C'est trop singulier, un surnom. C'est trop personnel. Non, c'est tout simplement Noé. Et même les gens ne prennent pas la peine de le prononcer, ce prénom. Puis, ce prénom justement, c'est tout ce qui me reste. Je ne veux pas qu'ils le salissent de leurs mots acides et de toute leur malveillance. Alors qu'ils se contentent de me pointer du doigt, qu'ils continuent de me traiter comme un vulgaire objet, sans conscience.
ton job : Vendeur dans un petit magasin. Tout petit magasin. Je les vois tous passer. Ceux aux yeux tristes, ou bien les monstres avides de vengeance. Les fantômes vêtus de gris qui marchent la tête baissée. Ceux qui ne te lancent pas un merci, pas même un regard, car tu ne fais partie que du commun des mortels, et que c'est pas assez. Ceux qui font mal à voir, à la peau trop pâle et aux traits creusés. Ceux dont les paroles te font l'effet de coups de couteau dans le dos, tranchants, douloureux. Je me lève chaque matin pour affronter l'enfer quotidien. Et parmi cette foule, je n'y vois pas un seul sourire.
feat : Jack perfect Falahee.
statut : Célibataire. J'inspire, j'expire et je ne m'attache plus, parce qu'aimer ça fait mal et que quand on aime, nous aussi on blesse.

the player.
ton pseudo : dark paradise (mais appelez moi Adèle, je préfère.  mouais).
ton âge : Treize petites années.
inventé, pv, scenario ? : Tout sort de ma tête !
ton avis sur le forum ? : Il est vraiment magnifique, bravo pour ce p'tit bijou.  koeur  

tes tics, tes manies, tes envies : ///

dans tes souvenirs, raconte-nous la première fois où tu as été confronté au « mal ». quelles étaient alors tes options et quel a été ton choix ? ✚ Une nuit sombre. Une nuit d'hiver. Le moteur qui ronronne, la buée sur les vitres. Maman est au volant car papa ne conduit pas, papa ne fait pas comme tout le monde. Papa est différent. Le paysage défile à travers la vitre humide. Je ferme les yeux quelques instants. Juste quelques instants, que je me dis. Mais moi, petit enfant fatigué, je ne tarde pas à tomber dans les bras de notre ami Morphée. Je m'endors, et ferme les paupières sur la lumière des réverbères qui longent les rues. Et le cauchemar vient se promener dans mon esprit, et fait battre mon cœur un peu plus vite. J'ouvre les yeux et pousse un cri strident. Une sueur froide coule le long de mon front. Maman frêne brusquement, parce qu'à elle aussi, en entendant ce cri, son cœur à fait boum boum. Et puis c'est tout mon monde, qui fait boum. C'est le sang qui coule le long de son front et son rire qui ne raisonnera plus. J'ai tué maman. J'ai tué maman. J'ai tué maman. Maman a eu peur et j'ai tué maman. tes choix de vie t'ont-ils déjà apporté des ennuis ? ✚ Je ne fais pas de choix. Je choisis la facilité pour ne pas avoir à affronter la réalité. Parce que j'ai peur, je suis mort de peur. Je suis mort de peur, la peur de voir mon passé me sauter à la gorge. Je me tapis dans l'ombre et me fais oublier. Je ne veux pas vivre alors je me contente d'exister. quelle importance accordes-tu à l'humanité dans son ensemble ? comment te comportes-tu socialement ?  ✚ Je crois bien... Je crois bien qu'on ne peut parler d'une humanité. Car ces monstres, ces monstres avides de pouvoir, ces bêtes sauvages, ces fantômes qui errent dans les rues, sans but, sans savoir ou aller, ce n'est pas ça, l'humanité. L'humanité, c'est un sourire, c'est un soupir, c'est un regard qui fait battre ton cœur un peu plus vite, qui te fait aimer un peu plus fort. L'humanité, c'est des bras protecteurs, des regards amoureux et des paroles rassurantes, c'est un chuchotement au creux de l'oreille et c'est des larmes. Mais ces monstres n'en versent pas une. Parce qu'ils sont des hommes, et qu'il parait que les hommes ne pleurent pas. Parce que pleurer, c'est signe de faiblesse. Mais ceux qui ne pleurent pas n'ont pas d'âme. Quand tu pleures, tu pleures ce que tu es et ce que tu as perdu. Mais eux se contentent de frapper, de te regarder de haut en bas pour finalement rire, rire de ce rire qui sonne trop faux, de ce rire qui fait froid dans le dos. Alors, pensez-vous vraiment que l'on peut parler d'une humanité ? C'est une jungle humaine, rien d'autre.
Je ne suis pas de ceux qui serrent les dents, qui se salissent les mains d'un sang qui n'est pas le leur, qui hurlent des mots qui te transpercent en un claquement de doigts. Je suis de ceux qui s'effacent, qui baissent les yeux, qui s'excusent poliment, qui s'excusent de leur stupidité, qui s'excusent aussi d'exister. Ceux qui se tapissent dans l'ombre, qui regardent le monde vivre, si on peut appeler ça vivre. Se lever chaque matin, effectuer les mêmes gestes mécaniques, sans un sourire, sans un regard au monde qui nous entoure. Je suis de ceux que les humais dégoûtent, mais qui en ont trop peur pour oser changer les choses. Ceux qui subissent sans rien dire, qui serrent les dents pour laisser couler les larmes lorsqu'ils sont seuls, qui laissent couler leur âme. serais-tu plutôt la « tête » ou la « main » ? ✚ Moi, je  ne suis rien. J'ai choisi de ne rien être. J'ai choisi d'être ce bonhomme qu'on oublie lorsque l'on ferme les yeux sur des milliers d'étoiles, la nuit venue. Des étoiles que l'on ne voit pas, parce qu'on est aveugle de beauté.
C'est pour ça, que j'ai choisi de ne rien être. Parce que ces gens-là ne savent pas voir, ne savent pas vivre et ne savent pas aimer. Alors je ne veux rien, je  ne veux ni penser, ni agir. Je veux rester roulé dans mes draps le matin venu, je veux faire taire ce hurlement continuel qui raisonne en écho dans mon esprit torturé, je veux que ce cauchemar qui continue même lorsque j'ouvre les paupières cesse enfin. C'est tout ce que je veux, moi.  quelles sont tes pires craintes et tes plus grandes angoisses ? ✚ J'ai peur de moi-même et de ce que je suis devenu. Le combat contre soi-même est le plus dur. C'est continuel, ça ne s'arrête jamais. J'ai honte, honte d'être celui que je suis, ce fantôme. C'est dur, hein ? Quand on est petit, on se dit que plus tard, on sera un super-héros, qu'on aura une grande maison, de beaux enfants, une belle femme et une belle voiture. Puis on devient... ça. On devient celui qui arrive à peine à payer le loyer, et à bouffer, chaque mois. On devient celui qui s'excuse pour tout et pour n'importe quoi. On devient celui qui a peur de son ombre, de ce que le miroir reflète, parce que ce n'est pas lui. Celui qui a peur de tout. Celui qui a peur d'être en vie, qui a peur d'être humain. Celui qui a peur d'aujourd'hui et qui a peur de demain. dans ces adjectifs, le(s)quel(s) te définis(sent) le plus ? (indique les en gras)  improvisation, impétuosité, rêverie, instabilité, adaptivité, sens pratique, intuitivité, négligence, gaspillage, passivité, habitude, introversion.



this is the story of how i died.
Elle n'est pas comme les autres. Elle détonne parmi les fidèles, ces gens tranquilles, sans éclat, ces gens qu'on ne remarque pas, qu'on ne voit pas. Dans un monde décoloré, elle est en rouge.  Elle crie au milieu des muets. Elle danse parmi les gisants.
Marie Sizun.
Je me souviens encore de ces matins d'hiver. Le petit-déjeuner en face de la fenêtre, le thé qui fume dans les tasses en porcelaine plus british que nature, la nappe blanche à fleurs roses et les flocons de neige qui s'écrasent doucement contre les carreaux, pour ne plus former que des gouttelettes d'eau. Maman qui rit, parce que maman riait souvent, et papa, face à elle, papa et ses cheveux blonds que la lumière du jour faisait étinceler, papa, sa cigarette entre les lèvres, et le journal en mains. Papa regarde maman, de ce regard d'enfant, d'enfant d'avant, d'enfant qui n'a jamais grandi. Il le disait souvent, il le disait souvent que les vieux, c'était con, et qu'il voulait pas être vieux. Il le disait aussi, qu'être vieux, c'était un choix, et que ça t'arrivait pas comme ça, un matin, dans la gueule. Qu'on pouvait choisir de ne pas être con, mais que les cons, ça, ils ne le savaient pas. Papa avait les yeux bleus, comme le ciel en été, comme l'eau des océans quand le soleil se pointe, élégant et fier de sa belle couleur qui enveloppe le monde, comme l'eau des océans quand les premiers rayons se reflètent sur l'eau. Ses yeux à lui, ils étaient comme ça. Il était beau, papa, un visage de grand et des yeux d'enfant. Souvent, on le pointait du doigt et lui lançait un regard désapprobateur, parce qu'il parlait trop haut, qu'il rigolait trop fort et qu'il disait à voix haute ce que les gens pensaient tout bas. Mais lui, il s'en foutait, alors pour les emmerder, il parlait encore plus haut, riait encore plus fort, et continuait de l'ouvrir quand les autres la fermaient. On ne lui dictait pas ce qu'il devait faire, à papa. Une fois, je m'en souviens, il s'était qualifié d'homme libre enfermé dans une cage. Je n'avais pas compris, j'avais rit. J'avais rit parce que c'était bête, comment pouvait-il bien être libre et enfermé dans une cage ? Alors lui avait rit aussi, puis maman, parce que maman, elle rigolait souvent. La cage, c'était le monde. J'avais bien vite compris qu'aux yeux de papa, ce Monde, ce n'était qu'une vulgaire volière à connards. Il n'avait pas besoin d'appartenir au monde, son monde à lui, il se le créait chaque jour. Il n'aimait pas les autres, papa. Il l'avait dit, une fois, il n'aimait que maman et moi.

J'aimais tant être allongé sur le ventre, à même le sol, entre les quatre murs du salon où partout étaient accrochés des tableaux. Les tableaux, la grande passion de mes parents. Ils en foutaient partout, je m'en souviens. C'était moche, ça n'allait pas ensemble, il y en avait des grands, des petits, des moyens, des sombres ou des colorés. C'était ça l'art, qu'ils disaient. C'est pas spécialement beau, c'est pas spécialement droit, c'est simplement une tornade de sentiments, tous mélangés. C'était ça, les tableaux pour eux. Les tableaux, c'était des sentiments. J'aimais les observer longuement. Je ne comprenais pas la plupart du temps, je ne comprenais pas et avais une vision d'eux totalement différente de celle des adultes. Papa disait que c'était bien, que l'art, c'était des millions de choses à la fois, et qu'on pouvait donc poser dessus des millions de regards différents. Papa aimait l'incompréhensible, le nouveau, le jamais vu, l'original. Papa aimait écouter en boucle son 45 tours de Gainsbourg. Mais papa ne parlait pas un mot de Français. Papa aimait voir la beauté dans les choses laides, et trouver moche ce que tout le monde aimait. Parce que s'il y avait une chose que papa n'aimait pas, c'était être monsieur tout le monde. Papa aimait les vieux livres, l'odeur de la poussière et des pages jaunies, papa aimait faire la course jusqu'au cinéma et fermer les volets des gens en plein jour. « Il est pas beau, leur monde. Il ne mérite pas d'être vu. » disait-il, pour se justifier. En fait, je crois qu'il aimait simplement faire chier son monde. Papa aimait les couchers de soleil depuis notre petit appartement à Kingston, il aimait le ciel Anglais. Il aimait la pluie qui frappe ton visage et le bruit des gouttes qui s'écrasent contre le toit. Papa aimait maman, maman et son sourire qui était tout un soleil, maman et son rire cristallin, maman et ses yeux bruns, ses cheveux châtains qui retombaient en une cascade de boucles sur ses épaules. Maman et ses habits colorés, sa voix douce et ses paroles murmurées au creux de l'oreille, qui te foutent des frissons dans la nuque et te font rire doucement. Maman avait ce regard rêveur, maman était là mais absente. Elle avait toujours le regard perdu dans le vide, l'infini, les étoiles et le ciel, le regard perdu dans le rien, le nul part, le partout, l'inconnu, l'invisible. Maman ne parlait pas beaucoup, ne racontait pas beaucoup, maman se contentait de regarder et puis de rire. Son rire, c'était la chose la plus rassurante au monde. C'était quelque chose qui te faisait oublier tout, qui effaçait le monde autour. Je l'entends encore parfois, raisonner en écho dans mes pensées. Quand maman ne riait pas, ça n'allait pas. C'était l'enfer, le vide dans ses yeux perdus dans le vide, c'était le silence, le néant. Ça faisait peur, une maman qui ne riait pas. Ça faisait peur comme la tempête qui gronde et qui ravage tout, ça faisait peur comme quand tu t'enfonces dans tes draps parce qu'un monstre est caché sous le lit, que les ombres dansent sur les murs, prêtes à te sauter au visage. Ça faisait peur comme les éclairs qui déchirent le ciel, dans des hurlements infinis. Ça faisait peur comme la mer déchainée, comme les lourdes vagues qui s'écrasent contre les rochers. Ça faisait peur comme une nuit sans lune, un ciel noir, noir comme le néant qui t'emporte dans un tourbillon glacial. Ça faisait peur, une maman qui ne riait pas.

Ça faisait boum boum. Boum boum. Boum boum. Boum boum dans ma tête, boum boum dans mon cœur. Mon cri déchirait le silence. Les sirènes des ambulances se font entendre, au loin. J'ai tué maman. Maman ne rira plus. J'ai tué maman et son cœur ne fait plus boum boum. Son cœur ne bat plus et du sang encore tiède coule le long de sa tempe. Mais le mal est fait. La peau est froide et raide et le cœur ne bat plus. Le sang est tiède mais le cœur ne bat plus. Les yeux bruns sont clos, cachés derrière ces paupières qui cachaient des milliers de secrets. Papa, je crois bien que j'ai tué maman. Papa, toi ton cœur bat encore. Je le sens, il va jaillir de ta poitrine. Je l'entends qui fait boum boum.

« Mets une fleur, Noé. » Le regard de papa était éteint. Je l'avais éteint. Je secouais la tête de gauche à droite, la gorge serrée. La gorge serrée comme quand tu regardes un film à la télévision et que tu fermes les yeux très fort pour empêcher les larmes de couleur. « Noé, s'il te plaît. » Déjà, sa voix se brisait. Papa avait le visage déformé pas la douleur, et papa était vieux. Papa avait des rides aux coins des yeux. Papa tremblait, papa luttait, papa pleurait. Je baissais les yeux. « Noé... » « Non ! » Je serrais les dents. Je hurlais des non à répétition. Je hurlais et papa pleurait. Et le ciel pleurait. Je hurlais et j'avais mal. Je hurlais et mes oreilles bourdonnaient. « Non... » Murmurais-je, fatigué. « Je veux pas tuer une fleur en plus d'avoir tuer maman. »

J'ai tué papa. J'ai tué papa parce que son regard est éteint, parce que son visage est triste et que son cœur est brisé. Papa reste assis devant cette fenêtre, à regarder les voitures passer à longueur de journée. Papa ne parle plus, papa hurle la nuit. Papa pleure en silence contre son oreiller. Je m'étais faufilé hors de mes draps, un soir et avais jeté un regard dans l'entrebâillement de la porte de sa chambre. Vision d'horreur. Un papa roulé en boule sur son lit, comme un enfant. Les poings serrés et les yeux qu'il fermait très fort. Les larmes coulaient le long de ses joues désormais ridées. Les sanglots silencieux secouaient ses épaules désormais trop frêles. J'ai tué papa parce que maman n'est plus là et que son rire ne raisonnera plus entre les quatre murs du salon, parce que les tableaux ont perdu leurs couleurs. Parce que désormais, le monde est encore plus moche, et le silence encore plus pesant. J'ai tué papa parce que les chansons de Gainsbourg ne riment plus à rien, que ce n'est plus qu'un immense charabia. Parce que les livres ne sont plus que des mots sans importance, et que l'odeur des pages jaunies et de la poussière est devenue écœurante. J'ai tué papa parce que papa n'aime plus et qu'il n'aimera plus jamais. Parce que les yeux de papa sont devenus d'un gris trop clair, et que le ciel c'est plus qu'un tourbillon de tristesse infini, un ciel gris, un ciel qui pleure sur les remparts de ma vie qui s'effondrent peu à peu.  
J'ai tué papa et je me suis tué moi.
Invité
Invité
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30.01.16 19:37
Ermygad jack et ce pseudooo. :uhuh: Que du bon et je vois que ta fiche est déjà bien avancée ! :face: Enfin trêves de bavardages. Bienvenue sur le forum ! it's a beautiful disaster. (noé) 1710708364
Naveen Pravesh
The badder they are, the bigger the reward.
Naveen Pravesh
CARTOUCHES : 342


Bang bang.
TON JOB:
TON AGE:
TES ENNEMIS, TES ALLIES:
30.01.16 19:52
Oh ce type, je l'adore :bed: :uhuh: excellent choix d'avatar et de pseudo ! :brill:

ton perso' promet du lourd it's a beautiful disaster. (noé) 3859208376
Avalon-Jacy Wolf
It is madness for sheep to talk peace with a wolf. ∆
Avalon-Jacy Wolf
CARTOUCHES : 830


Bang bang.
TON JOB: gérante d'un casino et, accessoirement, blanchisseuse d'argent très sale.
TON AGE: vingt-neuf ans.
TES ENNEMIS, TES ALLIES:
30.01.16 19:59
Oh god, ce personnage, god damn it, j'suis hyper fan de ton début de fiche, de ce que tu as fais, c'est à la fois original et émouvant :dead::brill:
En tout cas bienv'nue chez toi petit Noé. I love you Courage pour la suite de ta fiche et si jamais t'as besoin de quoi que ce soit, j'suis ouverte à tous types de harcèlements :perv:.
Grim Cole
let's chase the dragon in my own way, would you ? ☯
Grim Cole
CARTOUCHES : 704


Bang bang.
TON JOB: proxénète de génie.
TON AGE: trente-neuf balais.
TES ENNEMIS, TES ALLIES:
30.01.16 21:24
J'ai commencé à lire... Puis je suis tombée sur un truc... J'ai besoin d'une réponse avant de poursuivre : t'as vraiment treize ans ? it's a beautiful disaster. (noé) 3528033335 :cute:
Invité
Invité
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30.01.16 22:12
Bienvenue sur le forum. I love you :brill:
Invité
Invité
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30.01.16 22:13
Bienvenue à toi ! :hrt:
Invité
Invité
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30.01.16 22:25
bienvenue sur le forum :) j'ai survolé et tu as l'air d'avoir une très belle plume (:
Invité
Invité
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31.01.16 8:48
Merci beaucoup à vous tous, vous êtes adorables. koeur
J'essaye de boucler ma fiche dans la journée (et après je viens squatter chez vous. it's a beautiful disaster. (noé) 2852843284) calin

Non non, en vrai je suis Gilles, j'ai 60 piges, enchanté. :rabbit:
Nan, ouais j'ai treize ans. :lol:
Avalon-Jacy Wolf
It is madness for sheep to talk peace with a wolf. ∆
Avalon-Jacy Wolf
CARTOUCHES : 830


Bang bang.
TON JOB: gérante d'un casino et, accessoirement, blanchisseuse d'argent très sale.
TON AGE: vingt-neuf ans.
TES ENNEMIS, TES ALLIES:
31.01.16 11:47
Que dire, que dire... :brill:
Déjà, j'suis raide dingue amoureuse de ton style, vraiment; Cette fiche, c'est une perle littéraire, d'autant plus pour treize ans ! Magad, si tu continues comme ça, à 16 ans tu nous ponds un premier livre :siffle::lol:.
" Ceux qui subissent sans rien dire, qui serrent les dents pour laisser couler les larmes lorsqu'ils sont seuls, qui laissent couler leur âme. " Voilà, juste.. :dead:
Et puis le coup de la "volière à connards", je crois que je n'men remettrais jamais tant c'est vrai ! :face:
En somme, tu nous dépeins une histoire drôlement dépressive, et belle dans sa mélancolie. Je suis fan, fan, tu me réserves un lien dis ? En tous les cas, c'est avec un super grand plaisir que je te valiiiide. Et évidemment, tu fais donc partie du groupe des moutons dans la bergerie. :siffle: Courage, au milieu de tout ce joli bordel !
Maintenant que tu fais officiellement partie de notre grande maison ( moustachio  moustachio approuve), j'te donne des petits indices pour savoir quoi faire maintenant, et ce que le grand terrain de jeu de notown blues met à ta disposition. :keur: Déjà, je te conseille d'aller lire les annexes si ce n'est pas fait, ainsi que les les règles de mr le maire, ça t'aidera à t'imprégner de l'ambiance :face:. Ensuite, si tu veux te faire plein d'amis (et de bons ennemis surtout  it's a beautiful disaster. (noé) 3859208376 ), il faut aller poster une petite fiche de lien. Et puis si vraiment t'es hyper pressé et que t'es un sacré joueur, il y a la loterie des rps, hyper pratique pour écrire vite et en excellente compagnie. :perv: Plus classique, tu peux demander un rang, un lieu auquel on n'aurait pas pensé, un logement et puis créer ton petit scenario. Voilà, t'as tous les éléments...

Que ton voyage commence.  :rip:
Invité
Invité
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31.01.16 12:06
Tu me fais trop plaisir. :uhuh: :cute:
Merci beaucoup beaucoup. :keur:
Bien sûr que je te réserve un lien. Rolling Eyes calin
(pour le livre on va pas abuser hein. :lol:)
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