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Freyja + Impulsive reactions, racing to solutions, miles ahead of my brain

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30.01.16 19:16
† Freyja (Annabelle) Svensson.
What if he kills a prostitute next? Or a woman walking home drunk? Late at night in a short skirt? Will they be in some way less innocent therefore less deserving? Culpable. The media loves to divide women into virgins or vamps, angels or whores. Let's not encourage them.
ton âge :  Elle a de la quarante-cinq ans. Elle le vit plutôt bien, pas de crise de la quarantaine à l'horizon.
ton groupe :  les faibles. i was dancing the white swan.
ton surnom : Frey' est le jolie sobriquet qui la poursuit depuis le lycée, comme s'il était si compliqué de prononcer deux lettre de plus.
ton job : Ancienne Médecin légiste au commissariat local, elle vient tout juste d'être débauchée par le FBI.
feat : Gillian Anderson
statut : Fraichement divorcée, son mariage n'était qu'un doux mirage qui n'avait de valeur qu'aux yeux de ses parents.
the player.
ton pseudo : H/Hannibal
ton âge : 24 ans
inventé, pv, scenario ? : Inventé
ton avis sur le forum ? : MOUAH

tes tics, tes manies, tes envies : Elle aime peindre et écrire, lorsqu’elle est en phase avec elle-même, elle pourrait passer des heures et des heures sans se nourrir, totalement enfermée dans son atelier, dans sa bulle. ▬ Elle lit énormément et a essayé de transmettre cette passion pour les mots à ses enfants, malheureusement, on ne fait pas des clones de nous-même. ▬ Depuis son mariage, elle n’adresse plus la parole à sa mère et se contente d’aller voir son père à l’hôpital de temps en temps lorsqu’il dort.  ▬ Elle est insensible aux odeurs de cadavres. ▬ Elle a perdu l’un de ses enfants à la naissance, lors de sa première grossesse. ▬ Même si elle n’a jamais réellement été éperdument amoureuse de son ex-mari, elle s’est prise d’affection pour lui et reste à l’écoute de ses problèmes. ▬ Elle a hérité de l’entreprise de son père, mais l’a revendu et reverser l’argent à plusieurs associations pour femmes victimes de violences et violes. ▬ C’est une fine cuisinière, elle aime faire la cuisine et inventer de nouvelles saveurs. ▬ Elle déteste le sport. ▬ Elle est végétarienne. ▬ Elle possède deux perruches. ▬ Malgré le fait qu’elle soit aisée, elle n’a jamais souhaité avoir de nourrices ou de femmes de ménages. ▬ Elle aime le thé et déteste le café. ▬ Elle n’est pas facilement abordable. ▬ Elle est très pédagogue. ▬ Elle possède une longue liste de choses qu’elle aimerait faire avant de mourir. ▬ Elle porte un vieux bracelet de cheville que son meilleur-ami lui avait offert au lycée. ▬ Elle ne supporte pas la nourriture trop épicée. ▬ Elle est allergique aux chiens. ▬ Elle aime marcher pieds nus lorsqu’elle se balade au parc. ▬ Elle rêve parfois du visage de son oncle. ▬ Elle est féministe.

Dans tes souvenirs, raconte-nous la première fois où tu as été confronté au « Mal ». Quelles étaient alors tes options et quel a été ton choix ? ✚Les pas raisonnaient chaque nuit, éveillant en elle une haine farouche, un sentiment d’insécurité et de vulnérabilité. Onze ans. C’était l’âge où tout avait commencé, le moment où l’enfer s’était emparé d’elle, la différence était que l’enfer n’était pas fait de flammes et de sang, mais de chair et de chaleur et d’une main qui se posait sur ses lèvres pour étouffer ses protestations. Chaque visite était régulée de façon à ce qu’il n’y ait aucune preuve de l’abomination et au fil des mois et des violences qu’il lui infligeait, ses iris pétillantes sombraient dans le silence morbide et elle devenait la victime. Les jours s’écoulaient, à une lenteur qu’elle maudissait. Chaque nuit elle souhaitait que la suivante ne s’achève, chaque déjeuné était aussi douloureux que l'écartèlement. Affronter les regards interrogatifs de ses parents, leurs haussements d’épaules abattus chaque fois qu’elle hurlait sans raison, chaque fois que ses doigts brisés un objet présent dans son sillage lors de ses nombreuses crises de colères. Les seuls instants où elle restait prostrée dans le mutisme, étaient des moments où il était présent, la scrutant en cachant à peine ses attentions incestueuses. Il était l’oncle, un homme en qui elle aurait dû avoir confiance.  Tes choix de vie t'ont-ils déjà apporté des ennuis ? ✚ Jamais. Elle a toujours su respecter les règles et les lois qu’on lui imposait. Socialement, elle n’a jamais grillé un feu rouge, jamais pris un seul PV, personnellement, malgré les infidélités de son mari, elle ne l’a jamais trompé. Depuis sa plus tendre enfance on lui a appris à sourire même lorsque le cœur n’y est pas. C’était cela être une Svensson. Quelle importance accordes-tu à l'humanité dans son ensemble ? Comment te comportes-tu socialement ?  ✚ Elle n’est pas à l’aise, parfois paraît peu abordable et ne saisit pas toujours l’humour particulier de ses collègues. Généralement, elle sourit, passe son chemin et s’enferme avec ses cadavres. Non pas qu’elle soit particulièrement solitaire, elle apprécie à leurs justes valeurs les moments de solitudes.Serais-tu plutôt la « tête » ou la « main » ? ✚La tête sans hésitation, elle n’approuve pas la violence. Parfois lorsqu’elle assiste à une scène, des restes diurnes continuent de la hanter. Légende urbaine ou non le passé fini toujours par vous revenir au visage à un moment où un autre. Quelles sont tes pires craintes et tes plus grandes angoisses ? ✚ Son oncle. Son secret. Cette tâche sur son corps qui la marquait à vie. Revivre ça, le revoir, c’est certainement ce qui la rend la plus fragile. Dans ces adjectifs, le(s)quel(s) te définis(sent) le plus ? (indique les en gras)  Improvisation, impétuosité, rêverie, instabilité, adaptivité, sens pratique, intuitivité, négligence, gaspillage, passivité, habitude, introversion.



be quick... or be dead.




Les regards curieux de ses parents se posaient chaque jour un peu plus sur elle, de plus en plus insistants. Comme ce matin de printemps, où la petite fille était plongée dans un ouvrage de Kant. « Freyja, tu ne veux pas me dire ce qu’il se passe ? Quelqu’un t’embêtes à l’école ma chérie ? » La mère était toujours douce, ses longs cheveux blonds longeaient ses épaules généreuses, le froid de la Suède lui faisait parfois rougir les joues. Freyja releva son regard avec l’envie dévorante de vider son sac, de soulager sa conscience et peut-être qu’à la fin, elle se sentirait moins salie ? D’un revers de main, elle referma l’ouvrage, toisant sa mère puis son père qui se trouvait à sa droite, l’air à moitié plongé dans le journal. « Je ne veux plus voir mon oncle, il vient chaque fois dans la nuit et me force à faire des choses. » étonnement, elle n’aurait jamais cru cela si simple à dire, elle s’était imaginée fondre en larmes de honte, mais elle ne ressentait qu’un vide absurde. Elle fut tout aussi étonnée de la vitesse avec laquelle son père s’était levé, jetant le journal sur la cuisine et faisant cogner sa main contre la joue droite de la fillette. « Menteuse ! Comment oses-tu ?! » Ce ne fut pas la gifle qui la fit le plus souffrir. Loin de là, elle n’avait senti contre sa joue qu’une douce caresse en comparaison à ce que son oncle lui infligeait chaque nuit où il était présent. Le plus difficile et le plus douloureux fut le regard de son père et ses paroles. Alors, elle se leva, fila jusqu’à l’extérieure de la grande demeure familiale sous les protestations de sa mère inquiète. Et depuis ce jour, plus jamais les parents ne s’inquiétèrent du comportement morne de leur petite fille. Plus jamais Freyja ne prononça le prénom de son oncle et ne se risqua à avouer ce qu’il faisait.




Il faisait froid. Mais, ce n’était pas le même froid que celui qui plongeait la Suède dans la neige, non. Le froid de Washington était humide, désagréable tout comme l’odeur modifiée chimiquement par toutes ces voitures. Le voyage avait été long, éprouvant et par-dessus-tout silencieux. Freyja s’était plongé dans l’un de ses nombreux ouvrages philosophiques tout en écoutant un grand classique de la chanson française, sans même adresser la parole à ses parents. Elle se sentait à la fois soulagée de quitter cette grande maison où elle y avait vécu l’horreur, mais terriblement triste de quitter un pays qu’elle aimait plus que tout. La jeune fille tira sa lourde valise péniblement, un chauffeur attendait la famille patiemment en fumant de longues cigarettes d’une finesse très dérangeante. Sans un mot, elle se laissa tomber à l’intérieur, collant son visage contre les vitres teintées, elle admirait à contrecœur la vue qui s’offrait à elle. Du bitume, des gens qui se déplaçaient le pas vif et le regard perdu, pas un seul sourire et des files de voitures à ne plus en finir. La main de sa mère se posa délicatement sur sa joue. Freyja savait que l’idée venait d’elle, que malgré le déni dans lequel vivait son père, sa mère croyait les paroles de sa fille. Elles n’en avaient jamais parlé, tout cela était trop honteux pour une famille de leur statut social. Ce genre de chose n’arrivait qu’aux pauvres, parce que les pauvres, eux, n’avaient rien d’autre que la misère et la saleté. « Tu vas voir, tu vas adorer Washington. » Freyja haussa les épaules en silence. Elle vit deux enfants emprunter le métro main dans la main, une femme qui promenait son chien, un homme qui mendiait et un autre qui avait le regard perdu sur son portable. La jeune fille se demandait comment survivre dans cette jungle qui lui semblait abominable. Elle voulait retrouver sa meilleure amie, son professeur de philosophie, tout ce qui avait fait d’elle ce qu’elle était aujourd’hui. Ici, elle se sentait invisible, démunie de tout.



Les jours s’étaient écoulés plus vite qu’elle n’aurait pu l’espérer, elle était toujours prête à attendre la fin de sa vie qui tardait à arriver. Sans vraiment avoir réussi à se faire des amis, elle préférait se concentrer sur ses études. Elle n’était jamais réellement à l’aise au milieu de la foule, malgré son physique d’adolescente plus qu’avantageux aux yeux des autres, elle aurait aisément pu faire partie de l’un de ces groupes de reines du lycée, de longs cheveux, un visage de poupée. La puberté l’avait en quelque sorte épargnée, les regards se tournaient souvent sur elle lorsqu’elle longeait les couloirs de son lycée, un sac accroché à l’une de ses épaules et la plupart de ses livres contre sa poitrine, les écouteurs enfonçaient à l’intérieur de ses oreilles. Elle se sentait hors du monde, hors de toute chose, elle ne voulait pas s’identifier à un quelconque groupe. « Yo ! » Elle n’avait pas entendu ce que lui disait le jeune homme qui s’était interposé entre elle et la salle de classe. Calmement, Freyja ôta l’un de ses écouteurs, scrutant l’individu avec une certaine appréhension. « Salut ? » Murmurait-elle, tout en redressant la lanière de son sac-à-dos. « Dis, il paraît que t’as des supers bonnes notes en biologie et j’avoue que moi je suis nul… » Freyja esquissa un sourire en coin, elle connaissait l’énergumène de nom ou plutôt de réputation. Il était le stéréotype typique du gars au sourire à vous faire fondre le cœur, l’adolescent que toutes les filles désirent à s’en ronger les ongles, populaire, charmeur. Un véritable stéréotype sur pied, comme elle-même l’était avec ses livres et ses notes. « Laisses-moi deviner ? Tu veux des cours particulier ? Ou c’est juste une excuse pour me draguer ? » Elle avait vu ça dans de nombreuses séries télévisées et malheureusement, son interlocuteur ne fit que sourire en coin. Signe qu’elle se trompait ? Elle l’ignorait. « Je te trouve un peu prétentieuse de penser ça…t’es pas la seule fille du lycée à être mignonne. Bref, si tu ne veux pas laisses tomber j’irai demander à Angela. » Angela était pour ainsi dire la pire garce qu’ait rencontré Freyja. Dire que les deux jeunes filles se haïssaient cordialement était un euphémisme. Angela avait commencé à brimer Freyja dès lors qu’elle sentait sa place de reine du lycée lui filer entre les doigts. Et Freyja avait appris à ne pas se laisser faire et lui avait fichu une raclée monumentale, ce qui lui avait coûté un mois entier de punition. Elle soupira, posant sa main sur l’avant-bras du jeune homme. « Attends ! Je vais te donner des cours, mais ce sera au parc, je ne veux pas que tu fasses l’idiot juste parce que tu sens qu’ici c’est toi le roi. Et pas de retard ! » Il souriait. Et Freyja se sentait à la fois agacée et charmée.
************
Le soleil la frappait en plein visage, d’un revers de main, elle chassait les quelques rayons qui la foudroyait. Une mèche de cheveux roux longeait sa nuque tandis que le reste de sa chevelure était entretenue dans un gros chignon bordélique. Elle soupira, jetant un œil à sa montre. Trente minutes qu’elle l’attendait, habituellement le jeune homme semblait toujours à l’heure, d’un enthousiasme qui étonnait toujours la jeune Freyja. Peut-être s’était-il lassé des cours qu’elle lui donnait. Pourtant, elle avait eu l’impression que ce dernier appréciait les quelques moments où il trouvait la réponse à l’une de ses questions, chaque fois il observait la jeune Freyja d’un sourire niais lorsqu’elle frappait dans ses mains, visiblement fière de son élève. Chaque cours se soldait par une balade le long du parc, une canette de soda entre les mains, elle appréciait ce moment de pause. En réalité, elle appréciait bien plus ces moments qu’elle ne voulait se l’avouer à elle – même. Elle soupira, prête à partir, les doigts enlaçant son sac-à-main, lorsqu’elle le vit débarquer en courant. Il s’arrêta en face d’elle, les mains posées sur ses genoux, il était essoufflé et lorsqu’elle vit l’entaille sur le bord de sa lèvre, elle avait ressentie une profonde inquiétude. « Tu t’es battu ? » Demandait-elle tout en lui tendant un mouchoir de soie qu’il attrapa de ses mains tremblantes. « Non…c’est juste…. » Il s’était arrêté, plongeant son regard dans celui de la jeune fille, souriant d’un sourire qu’elle connaissait mieux que personne. Le genre de sourire triste, qui comblait une blessure qu’on ne voulait pas partager avec les autres. Elle avait souvent remarquée ses absences et les rares moments où elle était allée le chercher chez lui, elle avait vu l’ambiance, les vapeurs d’alcool qui l’inondaient chaque fois que le père du jeune homme lui ouvrait la porte. Elle hocha son visage, lui offrant une canette de soda. « Et si on allait faire le tour du parc pour commencer ? Ensuite on pourrait manger dans ce petit restaurant chinois en face ? » Elle sentait, cette gêne qu’elle avait autrefois connu, cette honte, cette impuissance qui la poussait à se haïr chaque fois qu’elle se regardait dans un miroir. Sa main glissa dans celle du jeune homme et elle murmura « Après tout, tu me dois un repas. » Elle ne souhaitait pas qu’il ne puisse imaginer qu’elle ne l’appréciait que par pitié. Tout comme elle ne souhaitait pas dévoiler sa propre cicatrice. Alors, elle était simplement là, rayonnante d’une tristesse palpable dans cette robe blanche qui s’arrêtait au-dessus de ses genoux.



Le temps lui paraissait long sans lui. Les jours s’allongeaient à ne plus en terminer, les conversations les plus riches étaient devenues inintéressantes aux yeux de la jeune suédoise. Le deuil de sa perte était ancré en elle comme une cicatrice vive et douloureuse. Parfois, lorsqu’elle était en compagnie de son « fiancé » par procuration, elle songeait à ce que Caleb aurait dit ou fait à sa place. Elle se languissait de ses blagues les plus idiotes, de ses sourires remplis d’une tristesse enfouie en lui. Caleb lui manquait. Plus qu’elle ne l’aurait imaginé, mais malheureusement pas assez pour se révolter contre le père Svensson. Etrangement, elle n’avait jamais eu le cran de désobéir, de fuir loin de l’emprise familiale et de son poids. Jamais. Peut-être était-ce la crainte de l’autre, de l’être humain, la peur constante d’être à nouveau brisé. Quelques coups la firent sursauter, elle dégagea sa longue toison sur le côté droit de son cou. « Oui ? ». Sa mère. Une femme d’apparence douce, mais qui était tout autre lorsqu’il s’agissait d’assouvir ses ambitions. « Tu es magnifique, pas trop stressé ? » Freyja haussa ses épaules, déposant sa brosse sur le côté. Toisant son visage vernis de couleurs, un masque qui ne lui ressemblait pas. Son futur mari était gentil, doux, mais il n’était pas Caleb et ne le serait jamais. Et après plusieurs jours à s’enfermer à l’intérieur de sa chambre, les yeux rougis par les larmes, elle avait capitulé. Simplement. Elle ôta le bracelet qui entourait son poignet, l’enfermant dans une boite qui appartenait à sa grand-mère. Se leva et sans un mot pour sa mère, se dirigea jusqu’au halle de l’hôtel où l’attendait sa belle-famille. Un contrat. Voici ce qu’était son corps et son cœur.
Avalon-Jacy Wolf
It is madness for sheep to talk peace with a wolf. ∆
Avalon-Jacy Wolf
CARTOUCHES : 830


Bang bang.
TON JOB: gérante d'un casino et, accessoirement, blanchisseuse d'argent très sale.
TON AGE: vingt-neuf ans.
TES ENNEMIS, TES ALLIES:
30.01.16 19:19
Par contre, cette nana, elle est trop canon. :dead:
Trop hâte de voir ce que nous réserve cette jolie Freyja (russe, par le plus grand des hasards ? :perv:). Bon courage pour ta fiche et puis évidemment, puisque je manque à tous mes devoirs, bienvenue chez toi. :keur:
Si jamais t'as la moindre question, ma boîte mp est graaaande ouverte. :siffle:
Naveen Pravesh
The badder they are, the bigger the reward.
Naveen Pravesh
CARTOUCHES : 342


Bang bang.
TON JOB:
TON AGE:
TES ENNEMIS, TES ALLIES:
30.01.16 19:19
COPINE, j'suis trop contente que Karianne t'aie amenée chez nous, bienvenue chez toi ma belle. Quel excellent choix d'avatar :uhuh: Elle est tellement belle ! :brill:

Hâte de te lire et de découvrir ce que vous nous réservez toutes les deux Freyja + Impulsive reactions, racing to solutions, miles ahead of my brain 3859208376
Invité
Invité
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30.01.16 19:20
Avalon : Non suédois ! Mais le grand froid reste le même <3
Valery : Le forum est magnifique et merci beaucoup <3
Avalon-Jacy Wolf
It is madness for sheep to talk peace with a wolf. ∆
Avalon-Jacy Wolf
CARTOUCHES : 830


Bang bang.
TON JOB: gérante d'un casino et, accessoirement, blanchisseuse d'argent très sale.
TON AGE: vingt-neuf ans.
TES ENNEMIS, TES ALLIES:
30.01.16 19:21
Encore plus original. Freyja + Impulsive reactions, racing to solutions, miles ahead of my brain 3210751047 :bed:
Invité
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30.01.16 19:39
Ce pseudo.

Cet avatar.

Ce personnage.

T'es divorcée, je peut t'épouser ? Freyja + Impulsive reactions, racing to solutions, miles ahead of my brain 1710708364

Enfin, enfin, bienvenue sur le forum et bon courage pour la fin de ta fiche avec ce perso' qui déchire ! Freyja + Impulsive reactions, racing to solutions, miles ahead of my brain 1121099709
Invité
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30.01.16 19:54
Haha !
Avec plaisir why not ! Et puis Eva Green ♥ ! En tout cas merci pour cet accueil !
Invité
Invité
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30.01.16 22:15
Encore un choix magnifique, cette femme dégage tellement de charme. :aah:
Bienvenue parmi nous. :3
Invité
Invité
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30.01.16 22:20
Cette actrice ** mais c'est quoi ces gens qui viennent avec ces putains d'avatars O.O vous êtes sérieux là !
ça fait tellement de bien de voir sa tête sur un forum, je crois bien que c'est la première fois que je le vois oO
bienvenue en tout cas, au plaisir de te croiser sur le forum :)
Invité
Invité
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30.01.16 22:20
Bienvenue à toi ! :hrt:
Invité
Invité
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31.01.16 1:59
Mais quel accueil magnifique ♥️ :cute:
Invité
Invité
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31.01.16 14:00
Un personnage tout en nuances, j'ai dévoré la fiche et j'ai hâte de la voir en action. En plus, vu qu'elle bosse pour le FBI, elle va pouvoir nous coffrer tout ces voyous.  Freyja + Impulsive reactions, racing to solutions, miles ahead of my brain 3859208376

Tu es donc validée, j'attends de voir ce que tu nous réserves. Le groupe dancing the white swan est parfait pour elle, rien à redire, donc je t'ajoutes.  :keur:  
Maintenant que tu fais officiellement partie de notre grande maison ( moustachio  moustachio approuve), j'te donne des petits indices pour savoir quoi faire maintenant, et ce que le grand terrain de jeu de notown blues met à ta disposition. :keur: Déjà, je te conseille d'aller lire les annexes si ce n'est pas fait, ainsi que les les règles de mr le maire, ça t'aidera à t'imprégner de l'ambiance :face:. Ensuite, si tu veux te faire plein d'amis (et de bons ennemis surtout  Freyja + Impulsive reactions, racing to solutions, miles ahead of my brain 3859208376 ), il faut aller poster une petite fiche de lien. Et puis si vraiment t'es hyper pressé et que t'es un sacré joueur, il y a la loterie des rps, hyper pratique pour écrire vite et en excellente compagnie. :perv: Plus classique, tu peux demander un rang, un lieu auquel on n'aurait pas pensé, un logement et puis créer ton petit scenario. Voilà, t'as tous les éléments...

Que ton voyage commence.  :rip:
Invité
Invité
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31.01.16 16:37
Merci beaucoup ♥
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