† Opaline Brodan | ton âge : Vingt-sept ans. Les souvenirs échoués sur les berges d'une mémoire erronée. Quelques rides naissantes au coin des lèvres souriantes. Le futur à ses pieds, qu'elle écrase dans un rire effronté. Age auquel elle ne porte aucun sens, l'éternité au cœur et l'éphémère dans l’œil. ton surnom : Opale. Elle n'a jamais apprécié la -pourtant délicate- terminaison de son prénom. Le ine sonne comme une cloche vide sous sa langue quand le surnom offre la sensation de caresser du velours. ton job : Femme de ménage. Petite ombre silencieuse qui vient dénicher les loups poussiéreux oubliés sous les lits défoncés. Le fantôme côtoie ceux ayant le luxe de se payer ses services et se plaît à découvrir les maisons fastueuses dont elle prend soin comme si elles furent siennes. Mais la petite, passée maître dans l'art de la discrétion comble les fins de mois difficile en payant une tranche de rêve aux camés affamés auxquels elle revend de la poudre bon marché. feat : Anja Konstantinova statut : Amoureuse des âmes cabochées. Attrait nocif pour les perfides, pour les monstres que les gentils préfèrent craindre quand elle se joue à les aimer. La poupée blonde se perd de bras en bras et revient souvent quelque peu abîmée. Elle est la page blanche sur laquelle peut s'écrire les plus sombres fantasmes. Fait curieux, le regard demeure toujours innocent et le sourire à jamais candide. Absence de peur, détachement étonnant qui donne envie de la salir, de la meurtrir. L'éternel célibataire butine les cœurs d'aciers et, parfois, trouve amant plus délicat pour venir penser les plaies que ces sombres compagnons d'un soir se plaisent à laisser sur sa peau nacrée. the player.ton pseudo : LG ton âge : 23 petites années. inventé, pv, scenario ? : Inventé ton avis sur le forum ? : il est beau. |
tes tics, tes manies, tes envies : C'est le corps maigre qui frappe de prime abord le regard. Difficile d'imaginer qu'un corps si décharné puisse encore trouver la force de se mouvoir. Et pourtant, la démarche élégante pare la silhouette d'ailes silencieuses t'en semble-t-elle survoler le bitume. A défaut d'être en cristal, la fille s'identifie au bambou. Bien facile à tordre mais impossible à briser le corps se pare des stigmates sombres laissés par les assaillants espérant pouvoir la broyer. Et si le corps abîmé atteste des souffrances passées nul doute que son âme lui, ne semble en pâtir. Effrayante résistance aux perfidies humaine, du regard se dégage une étonnante pureté que l'on peine à accepter. Il faut dire que la fille ne semble souffrir de la moindre crainte d'être anéantie. Sa faiblesse est si acceptée que la mort elle-même ne semble pouvoir la faire blêmir. La vie est une joueuse dont elle a appris à aimer les règles quand bien même certaines peuvent se juger inacceptable. ✚ Traîne misère la petite n'a jamais le sou. La tête ailleurs, l'esprit détaché du corps, elle ignore jusqu'aux besoins vitaux en oubliant jusqu'à l'acte primordial de se sustenter. Souvent prit de fièvre la petite tient debout en jouant des tours à son cerveau. La poudre blanche remplace l'eau et le poison injecté les bienfaits d'un repas bien mérité. Il n'est pas rare de la retrouver à moitié morte dans les bras d'un inconnu rencontré. Son corps devient alors monnaie d'échange contre un couvert offert. Aucune honte, Opaline survie en suivant ses propres règles et semble absolument détachée des émotions noires que de tels comportements devraient lui procurer. Comportement déviant, à la limite de la brisure. Opale flirt avec le danger et se vautre dans les excès non sans faire entendre son incroyable rire. Rire qui vient de loin, qui sort des tripes. Elle chante son bonheur et se moque des regards jugeurs. Il faut dire qu'elle n'accorde au commun des mortels qu'un bref intérêt. Le monde est son terrain de jeu mais les humains lui demeurent à jamais mystérieux. Elle ne comprend pas l'intérêt qu'ils ont tous à vouloir dominer le monde. Elle préfère se faire jouet de leurs mains et accueille sans ciller, les confidences de chacun. Et ils ne manquent pas quand la poupée maltraitée se perd dans les draps sales d'un enfoiré parmi les enfoirés. Et elle s'amuse de voir parfois les plus grands mécréants s'effondrer pour venir trouver dans ses bras le réconfort que la vie oublie de leur donner. Étrange mécanicienne de l'âme, Opale à l'air si insignifiante que les autres n'ont aucune crainte à se confier. Elle se retrouve alors gardienne des secrets, des fantasmes et des horreurs jamais avoués à quiconque. Plus redoutable qu'un curé c'est entre ses cuisses que bon nombre vienne se confesser. Et la farouche écoute, donne à voir de ses sourires tendres, de ces sourires si rares tant la gentillesse semble avoir désertée les rues.✚ A défaut d'arme pour défendre sa peau, Opale à à un calepin et un stylo. Passion pour le dessin, attrait pour la création, la douce aime à coucher sur le papier les âmes rencontrées. Elle capte la fureur d'un regard et le retranscrit avec talent et ne craint pas d'aller débusquer les ordures pour croquer les scènes les plus violentes. Ainsi, Opale possède de dizaine de feuillets noircis de scènes de crimes. De la simple vente de drogue au viole brutale d'une pauvre femme n'ayant rien demandée Opale possède un attrait particulier pour les horreurs les plus brutales. Passé maître dans l'art de la discrétion, Opale pourrait sans nul doute servir de témoin redoutable à la police tant son œil aiguisé a assisté aux pires crimes. Mais de cette capacité certaine Opale se garde bien d'en faire part à quiconque. Elle ne souhaite pas se faire voler son art, seul et unique centre d'intérêt qui semble être encore capable de la maintenir en lien avec la réalité. ✚Bavarde Opale l'est pour autant qu'on lui donne matière à discuter. Hélas, la demoiselle n'est pas très douée dans l'usage des mondanités et ne sait s'exprimer autrement qu'avec franchise. Elle s’assoit sur les règles de bienséances et n'a, en aucun cas, la délicatesse du verbe. Pour exprimer ses idées la petite à recours aux métaphores étranges venant expliciter (ou rendre que plus étrange) ses opinions. Sa vision du monde étant quelque peu émoussée par la consommation excessive de psychotropes nombreux sont ceux jetant l'éponge préférant ranger Opale dans la case des fous ou des niaises plutôt qu'à se risquer de percevoir le sens sonnant dans l'apparente absurdité de ses propos. ✚
dans tes souvenirs, raconte-nous la première fois où tu as été confronté au « mal ». quelles étaient alors tes options et quel a été ton choix ? ✚ Fille d'une putain livrée aux crocs de la rue, la douce n'eut pas d'autre choix que de s'accoutumer au mal dès sa plus tendre enfance. Il prenait le visage d'hommes aux traits lourds et aux mains généreuses de coups violents. Il faut dire que la mère au ventre flétri par les grossesses passées, n'avait d'autre choix que d'offrir la chair tendre de sa fille en offrande aux clients. Des choix ils n'en existaient aucun sinon celui de se calfeutrer dans le monde mystérieux de l'imaginaire. Les coups se transformaient alors en bonbons délicieux et les insultes en tendresses proféré par un père au multiple faciès. Enfant du mal diront certains. Une bénédiction disait la mère qui, malgré ces atrocités, aimait sa fille d'une sincérité certaine. Amour et haine finirent donc par se confondre permettant à la fille de se protéger des assauts du mal dont la quotidienneté fit bientôt de lui une bien fade banalité. tes choix de vie t'ont-ils déjà apporté des ennuis ? ✚Les assauts de son quotidien ne sont qu'un long défilé d'ennuis. Un choix vaut-il mieux qu'un autre quand les perspectives d'un avenir plus glorieux se trouve anéantie par sa simple présence en ce monde ? Et quand bien même Opale flirte-elle avec les limites de la légalité jamais la crainte d'être éprouvée pour ses choix ne vint ternir sa volonté de vivre. Quand on est dans la merde jusqu'au cou ne nous reste plus qu'à chanter et aucun courroux de justice ou de moral ne viendra anéantir sa force de vie. Cela serait sans doute l'unique trésor qu'on souhaiterait lui retirer. quelle importance accordes-tu à l'humanité dans son ensemble ? comment te comportes-tu socialement ? ✚ L'humanité est un mystère insondable, une énigme irrésolue qu'Opale n'a jamais cherché à comprendre. Là où règne l'obscurité l'effronté n'a su que puiser en elle pour faire resurgir le beau là où n'existe que le laid. Étrange intérêt pour la perversité du monde, la jeune femme dans sa candeur farouche parvient à tirer un semblant de lumière des cœurs les plus noirs. Si rien ne la prédestine à survivre en ce monde elle parvient pourtant à s'attirer les sympathies des plus tordus des monstres. Il faut dire que bien rare sont les êtres dénués de toutes craintes d'être tués si bien qu'après avoir été le jouet des tarés Opale devient la délicate qu'il ne faut absolument pas briser. Elle joue de sa candeur, accepte les coups sans ciller et, quand la volonté du mal se retrouve bafoué, offre ses tendresses venant rassurer. Ainsi, même sans le sou, Opale trouvera toujours un endroit ou dormir, une assiette ou se nourrir. Elle a vendu son âme au diable et quand bien même cette dernière fut bien sale c'est bien sa capacité à se jouer des facéties humaines qui la maintienne -aujourd'hui encore- en vie.serais-tu plutôt la « tête » ou la « main » ? ✚ La main. Opale n'a jamais été de celle qui dirige, de celle qui décide. Petite plume emportée par le vent, elle tourne à gauche ou à droite selon les bons vouloirs du caprice du destin. Jouet pour les uns, précieuses pour les autres, Opale sera ce que vous voudrez qu'elle soit. Mais qu'importe ce qui arrive, qu'importe les horreurs qu'elle puisse subir jamais personne ne pourra jamais se pâmer de l'avoir brisé. Sa richesse, elle l'a trouve en elle et puise ses forces dans une énergie de vivre jamais égalée quand bien même fut-elle souvent enviée. Car qui mieux qu'elle peut savoir combien le diable a aussi besoin d'aimer ? quelles sont tes pires craintes et tes plus grandes angoisses ? ✚ Aucun de ces mots ne signifient la moindre chose au regard de la sauvageonne. Elle n'a rien à craindre sinon d'un jour perdre la vie et cette fin est si inéluctable qu'elle nourrit une certaine curiosité à vouloir découvrir comment la vie la jettera de ses rangs. Car Opale n'a jamais rien eut perdre, ni confort, ni amour, ni attache. De toutes les miséreux de ce monde, sans doute en devient-elle la plus libre car rien, pas même la mort, ne parvient à la faire trembler d'effroi. dans ces adjectifs, le(s)quel(s) te définis(sent) le plus ? (indique les en gras) ✚ improvisation, impétuosité, rêverie, instabilité, adaptivité, sens pratique, intuitivité, négligence, gaspillage, passivité, habitude, introversion.
be quick... or be dead.
Je suis l'ombre et tu es lumière. Me voilà fleur fanée, ils ne veulent plus de moi. Carcasse que même les chacals se refusent de dévorer. Et toi... Tu les attires. Ils ne sont que des insectes, des victimes de ta lumière. Ils essayent de te dévorer mais jamais ton âme ne se laissera assombrir. Tu n'es pas comme moi. Tu es mieux que moi. La fleur qui pousse dans le granit, qui se joue des misères et dont la lumière inonde les visages. Ils veulent ta peau parce que tu brilles. Ils n'ont jamais aimés que quoi que se soit brille. Ici rien ne brille. Pas même le soleil. Depuis combien de temps se refuse-t-il à notre iris ? Il n'y a que la pluie et l'odeur du sang. Banal. Comme la mort à nos portes. Mais toi. Toi tu brilles encore. Je ne pensais pas. Je ne savais pas que mes tripes puissent éjecter pareille beauté. J'ai tellement peur qu'ils parviennent à te briser. Et pourtant... Je n'ai aucun, absolument aucun moyen de te protéger. Tu le sais ? Dis moi que tu le sais. Dis moi que tu ne m'en veux pas. Dis moi que tu comprends. Ta maman elle a besoin de toi. Si tu ne vends pas ta chair qui donc nous achètera ? Et je sais. Je sais. Je sais que tu vaux mieux que ça. Peut-être qu'un jour un insecte un peu mieux que les autres le verra lui aussi ? Peut-être qu'un insecte un peu mieux que les autres t'achètera pour la vie ? J'ai rêvé de ça tu sais ? Il ne peut rien arriver de mieux que ça. Un jour, un moustique qui t'achète pour ne plus craindre de manquer de sang. Un moustique qui prendra soin de toi du moment que tu lui donneras ce qu'il veut. Et ils ne veulent rien d'autre que ce qu'il y a entre tes cuisses ma chérie. Ta sève, ton souffle de vie. Alors surtout fais bien attention, ne fait pas comme moi. Tu vois mon ventre ? Regardes la chair flasque... J'ai eu trop d'enfants... Tu sais que ce n'est pas de ma faute ? Je ne pouvais pas les garder... On a de la chance tu sais ? Il y a toujours des chiens affamés qui traînent. Les preuves partent en fumée. Mais toi... Toi je n'ait pas réussie. Tu es... La première à avoir les yeux bleus. Oui. Précisément. Se sont tes perles qui t'ont sauvés. A ta naissance ils étaient si clairs qu'on voyait presque au travers. D'ailleurs. J'ai vu la vie. Pour la première fois. J'ai vu la vie. Puis. Tu n'as pas crié. Tu as juste respiré. Tu as respiré et tu as posé tes grands yeux sur moi. Ils harponnent tes yeux. Alors non. Je ne pouvais pas te donner aux chiens. Mais... Tu m'as coûté cher tu sais ? Mes seins... Regardes mes seins. Que le ventre se flétrisse passe encore, ils peuvent l'accepter mais... Mes seins ! Et les tiens sont si beaux, si jeunes, si arrogants de santé et de force ! Tu comprends ma fille ? Dis moi que tu comprends ? Je sais. C'est fou. Mais dans ce mal, l'amour ne peut exister autrement. Je ne sais pas le faire exister autrement. Et toi ? Tu sauras le faire ? Tu crois que tu pourras le faire ? Penses à ta mère si un jour tu y arrives. Parce que je ne vais pas survivre tu sais ? Tu connais les rues, tu sauras tant sortir moi. Moi... Je ne peux plus rien pour toi entends-tu ? J'ai envie de mourir. Je veux mourir avant qu'ils ne me tuent. Ou pis, avant qu'ils ne te tuent. Non. Je ne pourrais pas supporter. Pas supporter de te voir mourir. Je préfère mourir avant. C'est lâche je sais. Mais tu verras qu'il existe en ce monde bien pire que la lâcheté. Je crois même qu'on peut hisser cette dernière au rang de qualité. Oui. J'aurais au moins une qualité. Non, deux. Je suis lâche, suffisamment lâche pour t'aimer comme une furie.
Je sais que tu comprends. Tu comprends tout. T'es une maline toi. Restes comme ça, ne bouges. J'ai besoin de te serrer encore, de t'embrasser encore. Tu sens bon. T'arrives encore à sentir bon. Tu es magique Opale. Une bénédiction.
Je t'en pris, ne cesse jamais de briller.
Il n'a pas eu de chance. Au mauvais endroit, au mauvais moment. Mais... Il n'a pas souffert. Regardes. La balle c'est fichée dans la tempe. Il n'a pas eu le temps de se rendre compte. La vie a filée, rien de plus. Non. Ce n'est pas très beau. Ce n'est jamais très beau un cadavre. Tu fais quoi fillette ? T'as rien de mieux à faire ? Un gamin a le crâne explosé et toi tu le dessines ?! T'es pas net tu sais ? Mais. C'pas plus mal. Ici les gens normaux ils finissent toujours par... Par... Tu sais quoi ? Tu vas finir ton dessin puis on va aller fouiller la piaule du petit. Oui je le connaissais. Je connais tous le monde ici tu sais bien. Bref. Il habitait là-bas. Oui, seul. Tu connais beaucoup de gosse qui ont encore leurs parents toi ? T'as des rêves dans les yeux ma pov' fille fais gaffe à tes fesses y'a que les gamins pour avoir la chance de crever avec une balle dans la tempe. Bon. Grouilles. Tu vas là-bas et tu cherches un truc qui pourrait nous être utile. Non pas de bouquins. J'aurais jamais du t'apprendre bientôt tu voudras traficoter une bibliothèque. Quoi t'en veux une ? Fichue gamine, t'es pas censée aimer lire tu sais ? C'est juste par précaution que je t'ai apprit ça, pour mes vieux jours ! Tu sais combien ça coûte une pair de lunettes ? J'ai besoin de tes beaux yeux. Bon. T'as fini ? Bordel c'est que c'est presque beau ta connerie là... Bon. Vas-y, vas fouiner et si tu trouves un truc à bouffer chui pas contre. Dégages j'te dis ! Tu m'retrouves où tu sais.
Foutue gamine.
Je suis lumière, je suis lumière, je suis lumière. Et je dis ça en riant, surtout en riant. Parce que plus personne ne rit. Personne n'aime quand on rit. Maman disait que ça voulait dire qu'on était fou. Fou et surtout pas heureux. Faudrait être fou pour être heureux dans ce monde. Suis-je folle ? Et c'est quoi la folie ? J'aime bien ce mot. Il est court, il est chantant. Folie, folie, folie. Je peux le chanter encore et encore ! Plus personne ne chante non plus. Enfin. Pas ici. Je suis bien contente d'être partie d'ici d'ailleurs. Même si ailleurs ce n'est pas vraiment mieux. Mais ailleurs c'est plus grand. Il y a du monde aussi. Beaucoup plus de monde. Maman se damnerait pour voir de si belles maisons. Se sont les miennes. Toutes. Je suis une voleuse et ils me payent pour ça. Maman se damnerait pour se vautrer dans ses draps. Ils sentent bon. Et eux ils veulent que je chasse l'odeur. Ils aiment les parfums que l'on enferme dans des boîtes. Je ne comprends pas. Maman elle se damnerait pour sentir ces parfums là. Si elle le pouvait encore. Une mort qui se damne. C'est pas possible. Il n'y a que les vivants qui le peuvent. Ils le sont tous. Moi aussi ? Peut-être. Cela a-t-il de l'importance ? Mais les démons ont de bien jolis bijoux. Beaucoup, beaucoup de bijoux. Il se damnerait pour les voir. Il me dirait de les voler. Je les vole. Ils sont tous là. Dans ma tête, ils brillent, ils colorent ma cervelle. Il dirait que je dois les vendre. Je pourrais. Pourquoi faire ? Quand on peut tout avoir en inventant.
Je ne vous laisserai rien.