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adonis ▬ young god

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12.04.16 18:33
† adonis graham.
Sometimes I can taste my death Like a candy bar So sweet and complete As infinity takes me This fool's end.
ton âge : trente ans sur ses papiers, honnêtement ça dépend des jours où il s'en sent le double, décalé avec cette jeunesse qui ne pense qu'à s'envoyer en l'air par tous les moyens possibles et de ceux où il s'en donne la moitié, l'air un peu hagard quand il n'arrive pas à comprendre tout ce qu'il l'entoure, avec toutes ces questions qui lui brûlent les lèvres autant que son earl grey. Cette sensation d'avoir grandit trop tard, mais peut-être  et surtout trop vite.
ton surnom : il faudrait être quelqu'un, exister, avoir un des amis pour qu'on puisse recevoir un surnom, il n'a pas la sensation d'être quoique ce soit pour quelqu'un. Plus celle d'être un chiffre de sécu' et un type sur une liste, alors c'est adonis point.
ton job : taxidermiste, c'est de père en fils apparemment, de toute façon c'est de l'argent facile, il faut voir la demande, que ça lui plaise ou non c'est pratique. Il arrondit les fins de mois en proposant des services plus morbides, il s'amuse avec ses flacons, crée des poisons, ce que les gens en font ce n'est plus son problème après, tout ce qui compte c'est remplir la caisse, payer la bouffe pour ses chiens, être une ombre ça lui plait, tenir une arme à feu, peu pour lui, c'est pas son genre.
feat : Harry Lloyd.
statut : divorcé de son enfance, ça lui manque de temps en temps puis il se revoit dans les cours de récrés. Autrement, en couple avec son job et marié au danger, les êtres humains ce n'est pas des relations fiables. L’instabilité, la peur c'est le compagnon idéal qui te lâche pas, le peu de gens qui s'attachent ne veulent que des billets.

the player.
ton pseudo : moonstruck.
ton âge : quatorze piges.
inventé, pv, scenario ? : inventé.
ton avis sur le forum ? : je vous bez.

TES TICS, TES MANIES, TES ENVIES bordeline quand la vie deviens survie, perd sans sens, devient une chute libre vide de sens, lui même, son propre poison, toute son existence résumée à un caractère décadent, être indéfini, voué aux extrêmes, frontière entre vie et mort aussi fine que la lame d'un rasoir. éleveur qu'il s'improvise avec ses deux chiens retrouvés tous deux abandonnés, deux berger allemands qui n’obéissent qu'à lui, qu'il a dressé au prix de ratés et de quelques manuels déchiquetés, sa petite compagnie à lui qui ne viendra jamais lui reprocher quoique ce soit et tait ses doutes, à conversation silencieuse réponse silencieuse. earl grey en très forte  doses, il se drogue au thé plutôt qu'aux autres substances, le thé c'est presque une religion, s'il n'a pas sa dose il n'est pas de bonne humeur et quand il n'est pas de bonne humeur il ne vaut mieux pas croiser sa route, il a tendance à maudire n'importe qui pour n'importe quel prétexte et devenir violent. cynique presque un peu trop, c'est le genre de type chiant qui trouve toujours à redire et aime bien en placer une où il faut, ou ne faut pas, il se sert du peu de culture qu'il a pour attaquer les autres, faute d'arriver à communiquer correctement avec eu, il copie ses animaux et mord le premier venu, autant vous dire que sa confiance c'est de l'or pur. photographe il aime capturer des instantanés de vie, mettre le monde sur stop, converser à jamais une trace du passé, il vit dedans, dans les souvenirs qui marbrent les murs de son appartement, clichés sépia ou noir et blancs, la couleur est trop tangible, si fausse.

Dans tes souvenirs, raconte-nous la première fois où tu as été confronté au « Mal ». Quelles étaient alors tes options et quel a été ton choix ? ✚ Fuir aurait sans doute été la meilleure option, mais on pense à sa vie avant tout et on veut pas courir tout le long. Le mal c'était les conneries de son père, il n'aurait pas du fermer les yeux, il a payé pour avoir voulu croire que tout allait bien, alors la seule option qu'on lui a proposé, il l'a prise sans hésiter une seule seconde, pensant qu'avec un peu de chance, il pourrait vite passer à autre chose et effacer cet affront. Il a tué pour de l'argent maintenant il continue de payer, c'est sa conscience qui prend.  Tes choix de vie t'ont-ils déjà apporté des ennuis ? ✚En dehors de ses propres soucis, il s'en est plutôt bien sorti. Jusqu'à présent il n'a jamais eu de retour, il ne fait que filer des fioles à des gens qui en font ce qu'ils veulent, personne ne fait de lien et tant mieux. Et personne pour dénoncer, il veut bien en croire en une bonne étoile. Et puis, a t-il vraiment le choix ? Quelle importance accordes-tu à l'humanité dans son ensemble ? Comment te comportes-tu socialement ?  ✚ Le genre humain est une énigme, il aime l'humanité autant qu'il la déteste, socialement parlant, c'est un désastre sur patte. Renfermé, pas dans ses basques, le monde extérieur c'est la jungle, il est à l'aise pour parler affaire mais incapable de tenir une discussion si on ne lui tend pas la perche, il n'a juste rien à leur dire à ces gens heureux. Il vient en aide à son prochain autant qu'il peut et défend ses maigres connaissances quand il n'a pas envie de mettre leur tête sur un piquet.  Serais-tu plutôt la « tête » ou la « main » ? ✚ Il n'a jamais été une tête en dehors de son domaine chéri, les études et la connaissances ce n'était pas son truc. On pourrait le qualifier de bête, il n'a juste pas eu la chance ni l'envie de continuer longtemps, il sait se servir de ses mains, ça c'est son délire, on dit même de lui qu'il a des doigts de fées. Quelles sont tes pires craintes et tes plus grandes angoisses ? ✚ Son angoisse c'est les autres et lui même, mourir ou vivre ce n'est qu'un état, rien à coté de ce qu'il voit tous les jours, pauvreté, vice. Sa pire crainte ce serait qu'il se fasse chopper, il n'assume pas ce qu'il fait, son petit marché. Sa pire crainte c'est de pas pouvoir arrêter parce qu'il commence à aimer ça, empoisonner ct'humanité.  Dans ces adjectifs, le(s)quel(s) te définis(sent) le plus ? (indique les en gras) Improvisation, impétuosité, rêverie, instabilité, adaptivité, sens pratique, intuitivité, négligence, gaspillage, passivité, habitude, introversion.
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12.04.16 18:33
be quick... or be dead.
Le bonheur c'est tellement éphémère, ça dure un jour, puis deux, septs ans et on croit toujours, que ça ne peux pas s'arrêter tel que c'est si bien partit, on vogue sur une mer de bonheur, on est jeune, on a pas encore l'âge de se soucier de quoique ce soit. Croire c'est beau, ça réchauffe le coeur quand le blizzard s'annonce, ça rappelle de ne pas fermer les yeux quand les nuages noirs arrivent, mais ça suffit pas pour effacer le malheur quand il s'abat tel le déluge. Sans arche c'est la noyade. Alors même du haut des huit années qui le précédaient, Adonis n'aurait pas pu tourner autrement. Au départ c'était bien, famille aimante, bons résultats scolaires, une existence bien rangée, sans vagues, du moins en apparence. L'avantage d'être petit c'est de ne pas comprendre que papa ne boit pas du jus de pomme, bien que ça en ait la couleur, croire maman porte un joli foulard simplement pour être belle, alors que le mal est plus profond . Alors tout content, il lui en offre un, il l'a acheté tout seul avec l'argent qu'il a trouvé dans sa tirelire, grâce à la Petite Souris. Bien sur, on ira pas lui dire que c'est son père qui l'a glissé dans la nuit sous son oreiller. Comme on ne lui dira pas que ses jouets ne viennent pas non plus du Père Noël. De toute façon, il s'en doute un que c'est des conneries.
Mais il est heureux alors à quoi bon ? Pourquoi gâcher ce qui est bon ?

Ça dure qu'un temps de toute façon. Les grandes études ce n'est pas pour lui, il n'est pas très doué, il ne retient pas grand chose, un vrai débile d'après son père. Il est spectateur chez lui, il regarde ses parents s'aimer mais jamais eux ne l'aiment en retour, le monde s'aime, mais lui on l'a oublié, laissé derrière comme un fardeau. Et il veut aimer ce monde, pourtant. Même s'il hait les autres chaque fois qu'ils respirent. Ces autres d'ailleurs, les autres de son âge, avec il a cette sensation, de n'être rien. Une bête de foire, sans plus et il a beau s'amuser un peu trop avec les lames que son père cache sous son lit, ça n'y change rien. La seule personne qui veut bien l'écouter c'est la dame en blouse blanche et avec les lunettes, mais il sait que s'il s'habitue à sa compagnie il finira avec les fous. Son père fera tout pour s'en débarrasser, il en est persuadé au fond de lui. Il n'est pas fou, il ne peut pas être fou. Il ne veut pas croire que l'homme en gris que son père rencontre tous les jeudis soir n'est qu'un collège. Pire un fantôme.

On lui répète sans cesse, le paternel crie, bâtard, fils de pute même. Toutes les insultes sont bonnes, il brise la frontière entre rêve et réalité et la nuit quand il voit son ombre et son sourire carnassier, Adonis ne sait plus s'il rêve où si cet homme est bien en train de le pousser à bout, si c'est bien lui qui le frappe où s'il se jette tout seul contre les murs. Il ne sait pas s'il doit croire la voix de sa raison où celle du chef de la famille, qui sait tout, qui voit tout.  Sa mère est plus distante, elle qui avait encore la douceur de lui faire des cookies, geste incroyablement bon de la part de parents indignes,  s'en va à l’hôpital. Son père peut bien le baratiner, il n'est plus un gamin, il comprend bien qu'il se passe des choses graves et qu'il ne peut rien faire. Même s'il pouvait, on ne le laisserait pas faire, il n'est pas voulu, il n'est même plus sur que sa mère soit sa mère et son père, son père maternel. Des personnes aussi cruelles seraient ses parents ? L'idée est ridicule. Il est un étranger pour eux, rien de plus qu'un étranger. Il est presque déçu quand il a la confirmation qu'il est bien le fruit de cet amour exclusif.

Puis un jour ses parents reviennent, ils font leurs valises et d'un regard entendu luis disent qu'ils s'en vont en vacances, prendre une pause, maintenant que "maman" va mieux. Parce qu'ils le prennent tellement pour un gamin qu'ils n'osent pas parler normalement. Ils laissent tout derrière. Il ne reviendront pas. Il est libre maintenant. Adonis leur en veut, énormément, mais au moins, il sera seul maintenant et les cauchemars pourront s'arrêter. Si seulement ce ne sont que des cauchemars. Être heureux, c'est ce qu'il pensait être, jusqu'à ce que l'homme en gris l'attende chez lui et éclate sa petit tête d'ange contre la porte. Leçon numéro une, ne jamais croire que l'on peut-être heureux. Les mots de son père s'abattent sur lui comme la foudre, il se souvient de ses petites règles instaurées dans la chambre, quand il lui tordait le poignet pour voir si ses os étaient assez durs et s'il ne méritait pas d'un peu d'exercice. Il a désobéi, voilà où ça l'a mené. Il savait que sa mère était malade. Il ne savait pas que son père fréquentait des sales types pour payer le traitement, l'homme paraît plus humain un instant. Mais il a tout de même abandonné le gamin aux fauves, par amour, c'est ridicule. Adonis descend aux enfers une première fois, pourtant, il a ce sentiment qu'il n'en sortira jamais, sauf entre quatre planches.

Échapper à la mort en la provocant ailleurs, c'est le seule condition. Il n'a qu'à continuer le buisness de l'autre - pas "papa", plus jamais. Il regarde de loin la petite famille, la gamine qui a quoi, cinq ans ? Joyeuse, ce sourire qu'il avait aussi quand il était tout jeune. Un autre, plus grand, un garçon, il a ce truc dans les yeux, il doit avoir son âge, ils auraient pu être amis qui sait. Ils se sont sans doute croisés plus jeunes, mais de toute façon, on ne remarque jamais Adonis. Il est beau, c'est dommage, il aimerait bien aller vers lui, tout lui dire. Il ne doit pas se dégonfler. Il n'ont pas de mère apparemment, demain, ils n'auraient plus de père. Mais il ne doit pas regarder dans les yeux, ça ferait naître les remords. Il doit juste faire ce qu'il a toujours fait. Empoisonner, pourrir la vie des autres. A l'aube ce papa là ne se réveillera pas pour voir ses enfants grandir. C'est horrible ce qu'il va faire, mais il se résigne. Peut-être parce qu'il ne reverra jamais la famille, ou parce qu'il ne sait pas ce que c'est que d'aimer.

Tout ça, ce premier "meurtre", c'était il y a deux ans.
Depuis, on pourrait dire que ça va mieux, en apparence toujours, la caboche est toujours un infernal torrent de démons rieurs. L'homme gris n'est jamais revenu, mais pourtant il n'a pas arrêté de le hanter, d'être dans son ombre. Il croit le voir sous son lit, lui dire de continuer. Il n'a pas arrêté de confectionner ses petits cadeaux, il ne veut pas décevoir ce fantôme. Il ne veut plus décevoir personne. Ou bien est-ce lui qu'il ne veut pas décevoir ? Il est maître de rien et de tout à la fois, peut-être qu'il aurait du y aller chez les fous. Le pauvre agneau, moucheron attiré par la lueur des prédateurs, emprisonné dans un bocal. Tantôt faible, tantôt curieusement lucide et conscient de ses vices. Il joue des autres. Il voudrait juste s’envoler.
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12.04.16 18:38
t'es bo, j'te bez.
Spoiler:
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12.04.16 19:24
Re bienvenue parmi nous et bonne continuation pour ta fiche :brill:
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13.04.16 9:24
Re-bienvenue ! Harry Lloyd, j'aime tellement ce choix ! leche
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13.04.16 15:01
re bienvenue ;) bon courage pour ta fiche ;)
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13.04.16 20:25
merci à tous ! :string:
eaque ▬ :bed:
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14.04.16 0:22
Super perso, super avatar... que dire de plus ? Ah oui et je surkiffe le boulot quoi.  mouais  AAH Ton sieur est vraiment un personnage intéréssant et j'ai hâte de le voir évoluer en rp !
Maintenant que tu fais officiellement partie de notre grande maison ( moustachio  moustachio approuve), j'te donne des petits indices pour savoir quoi faire maintenant, et ce que le grand terrain de jeu de notown blues met à ta disposition. :keur: Déjà, je te conseille d'aller lire les annexes si ce n'est pas fait, ainsi que les les règles de mr le maire, ça t'aidera à t'imprégner de l'ambiance :face:. Ensuite, si tu veux te faire plein d'amis (et de bons ennemis surtout  adonis ▬ young god 3859208376 ), il faut aller poster une petite fiche de lien. Et puis si vraiment t'es hyper pressé et que t'es un sacré joueur, il y a la loterie des rps, hyper pratique pour écrire vite et en excellente compagnie. :perv: Plus classique, tu peux demander un rang, un lieu auquel on n'aurait pas pensé, un logement et puis créer ton petit scenario. Voilà, t'as tous les éléments...

Que ton voyage commence.  :rip:
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15.04.16 16:58
OMG et j'aime bien ce prénom ! <3
Rebienvenue à toi et pardon
pour le retard >w<
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