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T'ouvrir l'esprit à coups de batte.

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17.02.16 0:54
† muniya roy.
I just come through with a couple bossy bitches. They get money too, they some "don't cross me" bitches.
ton âge : quarante ans.
ton surnom : Roy pour la majorité. Niya pour les autres.
ton job : magouilleuse, casseuse de gueule et hôtesse dans un foyer (non déclaré) pour femmes qui marche selon ses propres règles.
feat : m.i.a.
statut : célibataire.

the player.
ton pseudo : stay dirty.
ton âge : cinq ans.
inventé, pv, scenario ? : inventé.
ton avis sur le forum ? : c'est d'la frappe.

tes tics, tes manies, tes envies : Après la mort de son frère, Muniya a longtemps vécu seule. Peu à peu, elle a fondé sa propre famille, sa vraie famille. D'abord, des filles qui dormaient dans la rue l'ont rejoint, puis des filles qui tapinaient dans les bars pour se payer des livres d'école. La famille s'est encore agrandie, alors il a fallu pousser les murs de sa petite maison, rajouter du bois et de la ferraille, récupérer les terrains à côté. Les constructions sont anarchiques, mais elles tiennent. ✚ Elle est chargée d'accueillir les nouvelles venues et de leur présenter Le Foyer. Elle le fait depuis le début, sans s'en lasser. ✚  Roy parle peu, se fait discrète et mène ses affaires de son côté. Elle a beau faire partie des meubles, elles ont toutes compris, plus ou moins rapidement, qu'il ne servait à rien de se tourner constamment vers elle pour résoudre un problème ou un conflit. ✚ Néanmoins, pour râler lors des Assemblées, elle ne se fait pas prier. Elle est souvent emmerdée par d'infimes détails que personnes ne notent, ce qui lui vaut parfois d'être traitée de vieille conne, par ses consœurs, sur le ton de la rigolade. On dit de Muniya Roy qu'elle n'a pas beaucoup d'humour ni le sens de l'auto-dérision. ✚ Si elle a l'air calme, Niya ne l'est absolument pas. Elle s'impatiente rapidement et s'énerve très vite. Le reste du temps, pour éviter de se fatiguer, elle ignore ce qui la dérange. ✚ Beaucoup sont admiratives et/ou effrayées par sa capacité a détruire (un objet ou une personne) en un temps record et avec une violence inouïe. ✚ Si un homme manque d'attention ou qu'il se moque, Roy reste persuadée que l'attaque physique est la meilleure solution pour devenir le centre de son monde. ✚ Elle adore les femmes, elle le répète constamment, et tolère quelques hommes. ✚  Muniya n'a jamais quitté les murs du Foyer plus de quelques semaines d'affilées. Après autant de temps, elle est la seule qui n'a pas décidé de le quitter pour vivre une autre vie. Les filles ne savent pas qu'elle dort dans la même chambre depuis qu'elle est gamine, ni qu'elle a buté son frère dans leur cuisine.✚L'intimité avec une autre personne la dérange profondément. Elle résulte souvent d'une envie de connaître l'autre, d'une attirance, de choses qui la mettent mal à l'aise ou la rendent anxieuse. Niya déteste ces états, alors elle les évite. ✚ Son style vestimentaire est le reflet de sa passion pour les couleurs et l'or. Elle porte tout un tas de bijoux qu'elle n'a jamais eu les moyens de s'offrir ; elle les a presque tous volé. ✚ Roy n'a pas de patron, elle travaille quand elle en a envie. ✚ Puisque les lois ne les protègent pas, Niya a décidé de n'en respecter aucune. Sauf celles qui se votent entre les murs du Foyer, bien entendu. Et non, elle ne craint pas l'autorité. ✚ Le Foyer a mauvaise réputation dans la ville, surtout auprès des hommes. On affuble les femmes qui y vivent de tout un tas de surnoms plus ou moins ridicules ou vulgaires. On raconte des histoires sordides sur le sort qu'elles réservent aux hommes auxquels elles rendent visites et sur leurs pratiques quand elles se retrouvent toutes entre les murs de leur maison. ✚ Muniya n'est pas restée très longtemps sur les bancs de l'école ; sa lecture n'est pas fluide et elle ne sait compter que les biens qu'elle possède ou souhaite avoir en sa possession. Alors n'allez pas lui parler de féminisme, elle croit bien n'avoir jamais entendu ce mot.

dans tes souvenirs, raconte-nous la première fois où tu as été confronté au « mal ». quelles étaient alors tes options et quel a été ton choix ? ✚  Elle le connaît depuis toujours. Le mal, c'est l'autre. Celui qui se croit supérieur parce-qu'il peut tenir une excroissance entre ses doigts. Son handicap le rend plus puissant, mais pas plus fort. Il suffit d'écraser le pied contre ce morceau de peau qui dépasse pour le mettre à genoux et le faire pleurer. Dès lors qu'il ne sent plus que ça, qu'il est seulement capable de se focaliser sur la douleur entre ses jambes ; le dominant devient dominé. Quand on a grandi dans ce genre d'endroit, sortir une arme et s'en servir n'a rien de trop compliqué. Même pour abattre son grand frère. C'est facile, c'est comme un jeu. Sauf qu'on le regrette après, pendant longtemps. tes choix de vie t'ont-ils déjà apporté des ennuis ? ✚ Légalement, elle s'en est toujours sortie. Moralement, ça l'obsède parfois la nuit. quelle importance accordes-tu à l'humanité dans son ensemble ? comment te comportes-tu socialement ?  ✚ Muniya a son propre concept d'humanité. Quand elle débarque chez un type pour lui défoncer la gueule à coup de pied-de-biche, elle œuvre en faveur du bien. La tronche ensanglantée et la dentition abîmée portent un message important : respecte les femmes ou elles reviendront te faire chialer plus fort, connard. serais-tu plutôt la « tête » ou la « main » ? ✚ Elle n'exécute aucun ordre et n'en donne à personne. Muniya a sa propre tête et ses deux mains. quelles sont tes pires craintes et tes plus grandes angoisses ? ✚ Que son refuge soit détruit. De toute manière, si ça arrivait, elle resterait au même endroit pour le reconstruire. Elle se servirait des ruines, elle irait récupérer des trucs un peu partout. Des femmes, surtout, pour soutenir les fondations. C'est la mentalité des bidonvilles ; on a pas besoin de grand chose pour exister, juste d'être là. dans ces adjectifs, le(s)quel(s) te définis(sent) le plus ? (indique les en gras)  improvisation, impétuosité, rêverie, instabilité, adaptivité, sens pratique, intuitivité, négligence, gaspillage, passivité, habitude, introversion.



be quick... or be dead.
« Aucune femme ne vous empêchera d'agir, de penser, de croire ou tout simplement d'être à condition que vous ne priviez aucune autre femme de ces libertés. Vous avez donc l'obligation d'accepter l'état physique et mental, le travail, les origines sociales et géographiques ou les croyances de chacune. Les problèmes, s'il y en a, se règlent en dialoguant. Si le problème persiste, nous pouvons en discuter pendant les assemblées. Si nous avons besoin de prendre une décision en particulier pour régler ce problème, alors nous procéderons à un vote. Personne n'a plus d'importance que personne ; toutes les paroles se valent, vous êtes toutes invitées à vous exprimer durant ces temps... Et même en dehors. Si vous cherchez une place où dormir, n'oubliez jamais de demander si ça dérange quelqu'une avant de vous installer. Personne n'a le même rythme de vie, alors les repas ne sont pas partagés – sauf lors de grandes occasions -. Si vous n'avez pas d'argent, n'hésitez pas à demander de l'aide, nous sommes là pour ça. Si vous cherchez un travail, aussi, nous pourront certainement faire quelque chose pour vous. Dans le mois, une médecin vous rendra visite. Les trois premières consultations sont gratuites. Pour les prochaines, si vous n'avez pas les moyens de payer, quelqu'une vous avancera ou le payera à votre place. J'insiste, l'argent n'est pas un problème ; ne vous forcez pas à faire un travail parce-que vous avez besoin d'en gagner. Pour des raisons logiques, les hommes ne sont pas autorisés à entrer. Vous pouvez les retrouver à l’extérieur. Si vous rencontrez un problème avec un homme, ou même une femme, vous pouvez en parler. Vous avez un droit de vengeance. Certaines d'entre nous peuvent rentre visite à cet individu, lui expliquer certaines choses, veiller à ce qu'il comprenne bien. Si cet individu ne saisit toujours pas, nous lui rendons une autre visite. Puis une troisième. Généralement, à ce stade, les choses terminent par être très bien assimilées... Vous êtes en sécurité, ici. Soyez-en sûres. »

En face d'elle, huit femmes. La moitié sont des adolescentes, l'autre des adultes. Elles sont maigres, trop maigres d'après son œil non-expert. Certaines reniflent sans arrêt, d'autres se grattent l'intérieur des coudes. Leurs yeux rouges sont cernés de noir. Celle qui les a amené ici, la seule qui semble intéressée par sa présentation, lui a expliqué qu'elles vivaient toutes ensemble de l'autre côté du bidonville, dans une maison tenue par des types enragés et qui fait office de bordel. En voir arriver des nouvelles lui brise toujours autant le cœur, pourtant Niya ne laisse rien paraître. Elle se tient droite face à elles, les mains croisées dans le dos. Le ton de sa voix donne l'impression qu'elle détient la vérité absolue. « Vous ne valez pas rien, vous êtes précieuses. » Aucune n'ose relever les yeux. Ces femmes ont l'air d'avoir honte d'être là, honte d'être elles, honte d'exister. « Vous êtes fortes et extraordinaires. » Elle pense sincèrement que les femmes ont plus de courage et qu'elles sont plus persévérantes. Alors c'est tout naturellement qu'elle le répète, constamment, à toutes celles et ceux qui ne semblent pas en avoir conscience.  

Cependant, Muniya Roy ne croit pas l'être.

Comme l'ensemble de la population, elle est le fruit d'une éducation machiste.
Toute une partie de sa vie, elle s'est appliquée pour être une fille bien, le genre qu'on a envie de respecter, qu'on veut courtiser, avec laquelle on aimerait bien se marier et à qui on voudrait faire des enfants. Gamine, son frère lui disait de ne pas jouer avec les garçons. Plus grande, il lui interdisait de leur parler. Il l'embêtait constamment pour savoir si elle avait un petit ami ou s'il y avait un garçon qu'elle préférait plus que les autres. Niya répondait toujours non de la tête en levant les yeux au ciel, alors il lui disait que c'était surprenant, qu'une aussi jolie fille devait tous les rendre fous-amoureux. Ça le faisait rire un moment, puis Muniya prétextait un rendez-vous avec ses amies. Quand son frère l'a découvert, il n'a pas apprécié la cachotterie. Il a envoyé le petit-ami à l’hôpital et la petite sœur dans sa chambre. Pendant longtemps, cette trahison lui a valu d'être renommée 'traînée' et l'interdiction de sortir durant plusieurs semaines. Puis il est revenu, un soir, l'air profondément désolé d'avoir agi ainsi, tout en précisant que c'était aussi de sa faute, qu'elle n'aurait pas dû lui cacher ça. Il lui a expliqué que les filles biens devaient faire attention, qu'elles ne devaient pas se laisser avoir par les hommes, qu'ils étaient généralement sans scrupules, que ça les amusait de briser des cœurs. Il a pris sa voix la plus douce et l'a tiré dans ses bras quand il a fallu lui faire comprendre qu'il fallait se préserver, qu'une femme ne devait offrir sa virginité qu'à l'homme le plus méritant. A cet âge, Niya l'a écouté d'une oreille distraite. Elle lui en voulait toujours et entendre ces histoires de femmes et d'hommes qui consomment leur amour, si ça ne la dégoûtait plus beaucoup, ne l’intéressait pas le moins du monde.

Concrètement, Muniya Roy n'a vécu aucun grand malheur.

Elle s'est sentie étouffée, mal dans son corps, pas satisfaite de son identité.
Son grand frère avait cette manière de la fixer à chaque fois qu'elle sortait de sa chambre, le matin. Il n'avait pas besoin de grand chose pour considérer que sa tenue n'allait pas. Il lui demandait ce qu'elle cherchait, Niya ne comprenait pas, alors il précisait : « Tu veux qu'on te remarque ? » Elle ne saisissait toujours pas ; ce n'était qu'un pantalon et un pull pour elle, des vêtements simples. Ni les plus beaux, ni les plus moches. « Cache-moi ça. » Son frère avait réalisé avant elle que sa poitrine commençait à se transformer. Pour elle, ce n'était pas grand chose, ça ne méritait même pas de porter un soutien-gorge. Forcée de s'y intéresser, elle s'est regardée dans le miroir pendant des heures. De face, puis de profil. Dès lors, elle a eu l'impression que les autres ne voyaient que ça. Que les garçons, et les filles aussi, se focalisaient seulement sur ces corps qui n'arrêtaient pas de se modifier. Muniya a décidé de se cacher dans des vêtements amples. Elle a dissimulé ses premières règles comme si elle en avait honte ou qu'il s'agissait d'une maladie handicapante. Faut dire, aussi, qu'elle n'avait aucune raison de s'en réjouir ; ça ne lui faisait pas du bien. Au même moment, Niya n'a plus été à l'école, alors elle est restée avec son frère. En échange d'un peu d'argent de poche, elle lui rendait des services. Des trucs que tous les gosses des bidonvilles font : se cacher sur les toits pour alerter les autres de la présence de policiers, effectuer des livraisons, surveiller les frontières de chaque territoire. Ça l'amusait de courir partout en portant une arme.

Muniya craignait son grand-frère comme elle aurait pu craindre son père si elle en avait eu un.

Avoir une mère lui aurait peut-être permis de comprendre certaines choses concernant la nature de chacun : les filles deviennent des femmes. A partir d'un certain âge, elles saignent une fois par mois et elles ont des poils qui poussent à certains endroits du corps. Il faut l'accepter.
Niya a toujours eu du mal. Elle a toujours désiré être comme son frère et les types qui traînaient avec lui ; ils se sont toujours appliqués à lui rappeler leurs différences. Elle pouvait bien se comporter ou parler comme eux, s’intéresser aux mêmes choses qu'eux, il y en avait toujours un pour parler d'hormones dès que son agacement était un peu trop visible. Puisque Muniya n'était jamais prise au sérieux, elle a fini par se dire que ça ne servait à rien de parler. Elle est devenue cette femme quasi-invisible qui agissait selon la volonté de son grand frère de chef. Elle a accepté de frapper d'autres femmes pour récupérer de l'argent qui ne lui appartenait pas, elle en a tué juste pour prouver aux autres qu'elle était capable de le faire. Niya voulait qu'on l'accepte comme un membre à part entière, alors elle a refoulée toutes les qualités qu'on assimilait volontiers aux femmes ; elle n'était pas souriante, pas serviable, pas jolie, pas polie, pas douce, pas gentille, pas émotive, pas féminine. Elle n'aimait personne, même pas son frère qu'elle détestait un peu plus chaque jour. A ses vingt ans, peut-être un peu avant, peut-être un peu après, il a commencé à lui parler de projets, de songer au mariage et à fonder une famille. Il lui a parlé des types, des amis disait-il, qui trempaient dans le même genre d'affaires que lui. Il lui a demandé de faire attention à ses vêtements, à ses cheveux. Il lui a demandé d'être belle devant eux. Il lui a promis qu'il ne laisserait aucun homme lui faire du mal, il a juré qu'il buterait le premier qui oserait.

C'est vrai, elle aurait dû prendre de meilleures décisions et s'affirmer un peu plus.

Un soir, l'envie s'est pointée comme ça, sans raison particulièrement valable. Ils étaient seuls à la maison, l'un en face de l'autre, dans la cuisine. Elle a tiré son arme pour la pointer sur son frère, l'air peu déterminée.
« - Tu fous quoi ? 
- Je sais pas, qu'elle a d'abord répondu.
- Baisse ta putain d'arme, alors !
- Non. Ferme ta gueule, s'il te plaît.
- Q-quoi ?! Arrête tes conneries, bordel, arrête ça !
- …
- Niya !
- Tu t'es déjà dit que je pouvais être ton bras droit ? (Il rit avant de se rappeler que le canon d'un flingue est braqué sur lui) J'ai toujours été plus maligne que les débiles qui traînent avec toi. Plus intelligente que toi, aussi. Si tu pensais pas qu'à niquer et à consommer ta propre marchandise, tu serais riche (Il ne relève pas l'insulte, conscient de sa position de faiblesse). Quand est-ce que t'as décidé que je méritais pas d'avoir autant que vous, si ce n'est plus ?
- Niya, regarde-nous.
- Quoi ?
- Je croyais que tu étais plus intelligente.
- Tu crois que c'est le moment de déconner ? Tu veux que j'te bute ?
- Tu vas pas le faire.
- Tu penses ?
- T'as pas les couilles, qu'il donne en guise de réponse ultime. »

Alors, ouais, Muniya Roy n'est ni formidable, ni précieuse, ni forte, ni extraordinaire.
Elle a juste été blessée dans son ego.  
Si elles savaient, elles voteraient à l'unanimité pour son départ, sans débattre, se dit-elle.
Invité
Invité
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17.02.16 7:41
Ce perso a l'air d'être plutôt intéressant et quelle gueule :brill:
Bienvenue en tous les cas :slurp:
Invité
Invité
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17.02.16 19:44
*veut les bijoux que porte Muniya sur son vava* :brill: :keur:
Bienvenue à toi et bonne chance pour la finition de ta fiche =3
hâte d'en savoir plus sur elle =^,^=
Avalon-Jacy Wolf
It is madness for sheep to talk peace with a wolf. ∆
Avalon-Jacy Wolf
CARTOUCHES : 830


Bang bang.
TON JOB: gérante d'un casino et, accessoirement, blanchisseuse d'argent très sale.
TON AGE: vingt-neuf ans.
TES ENNEMIS, TES ALLIES:
17.02.16 20:00
le pseudo et l'avatar, quels choix démentiels ! T'ouvrir l'esprit à coups de batte. 3210751047 :dead:
bienvenue chez toi beauté fatale ! :slurp:
Naveen Pravesh
The badder they are, the bigger the reward.
Naveen Pravesh
CARTOUCHES : 342


Bang bang.
TON JOB:
TON AGE:
TES ENNEMIS, TES ALLIES:
17.02.16 20:53
quel choix étonnant, magique, intéressant, fascinant :brill: j'aime ! :perv:

bienvenue la belle, bon courage pour ta fiche :hrt: n'hésite pas au besoin :slurp:
Invité
Invité
avatar
18.02.16 10:20
...M.I.A..... t'as pris.... M.I.A. Puis je te faire une déclaration d'amour ? :weird: Il y a peu j'avais pensé à faire un scenarii avec elle en plus (pas sur notown blues) mais ailleurs finalement j'ai laissé tombé mais qu'est-ce que je suis CONTENTE de la voir jouer. :omg: :rainbow: T'ouvrir l'esprit à coups de batte. 1121099709 :uhuh:

Enfin bref, je m'étale. :lol: Bienvenue sur Notown Blues et bon courage pour ta fiche ! :clop:
Invité
Invité
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22.02.16 11:55
Merci beaucoup pour vos messages :slurp:
Et oui, Ozy', tu peux me faire toutes les déclarations d'amour que tu veux ! J'attends que ça !
Grim Cole
let's chase the dragon in my own way, would you ? ☯
Grim Cole
CARTOUCHES : 704


Bang bang.
TON JOB: proxénète de génie.
TON AGE: trente-neuf balais.
TES ENNEMIS, TES ALLIES:
22.02.16 12:58
C'est ton personnage qu'est de la frappe, ouais leche moustachio mia, c'est de la bombe atomique ** et pour tout ce que j'ai lu de ta fiche, tu nous ponds une demoiselle complètement à part !
Bienvenue chez les dingos, j'crois que t'as trouvé ta place :perv:
Invité
Invité
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22.02.16 20:26
Cette fiche ! :stp: Avant de te valider, il faudrait juste que tu mettes en gras un adjectif qui te définisse et ça sera bon, miss. :brill:
Invité
Invité
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22.02.16 21:07
gnf   Cimer, Grim !
Et voilà, madame, c'est fait ! VALIDEZ-MOI !
Invité
Invité
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22.02.16 21:16
C'était un plaisir de lire cette fiche, Muniya est un personnage qui déchire ! :hero: J'veut qu'on soit meilleures copines. T'ouvrir l'esprit à coups de batte. 3859208376 /sbaf/ 
maintenant que tu fais officiellement partie de notre grande maison ( moustachio  moustachio approuve), j'te donne des petits indices pour savoir quoi faire maintenant, et ce que le grand terrain de jeu de notown blues met à ta disposition. :keur: déjà, je te conseille d'aller lire les annexes si ce n'est pas fait, ainsi que les les règles de mr le maire, ça t'aidera à t'imprégner de l'ambiance :face:. ensuite, si tu veux te faire plein d'amis (et de bons ennemis surtout  T'ouvrir l'esprit à coups de batte. 3859208376 ), il faut aller poster une petite fiche de lien. et puis si vraiment t'es hyper pressé et que t'es un sacré joueur, il y a la loterie des rps, hyper pratique pour écrire vite et en excellente compagnie. :perv: plus classique, tu peux demander un rang, un lieu auquel on n'aurait pas pensé, un logement et puis créer ton petit scenario. voilà, t'as tous les éléments...

que ton voyage commence.  :rip:
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