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i'm a poor lonesome cowboy. + (ozy)

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01.02.16 21:39
† ozymandias erskine.
Quand un homme a un bec de canard, des ailes de canard et des pattes de canard, c'est un canard. Et ce qui est vrai pour les canards est vrai aussi pour les petits merdeux.
ton âge : trente-huit ans.
ton surnom : ils, parce qu'il y en a plusieurs, vont au gré de ses humeurs, des villes où il passe... mais, y a celui qui revient sans cesse, qui s'est souvent perdu dans le méandre de ses souvenirs : Ozy, prononcé par une voix douce et maternelle, puis par les femmes qui l'ont aimé, qu'il a trahi. Sinon les noms un peu rude, comme connard, le bâtard. parfois gueule d'ange, parfois ta gueule tout court. Il bronche pas tellement Ozy, après tout ce ne sont que des noms. Y en a bien un qui lui colle à la peau partout où il passe : à l'instar du héro de Corbucci, on l'appelle Silence. Parce qu'Ozymandias, c'est le gars qui cause pas ou peu.  
ton job : aimant à embrouilles, ou témoin de la déchéance humaine. officiellement, chasseur de primes, officieusement tueur à gages après une carrière d'homme de main ratée. Une carrière qu'il a délaissé au profit de celle d'adjoint du sheriff de Deadeye, suite à un mystérieux concours de circonstances. Désormais, il continue à chasser les têtes, les primes, parfois à les descendre l'affiche de recherche est parée d'un délicieux mort ou vif.
feat  michael fassbender
statut : consolateur de veuves éplorées. Maintes fois mis en couple, maintes fois séparé, il a même tenté le mariage une fois, mais c'était pas vraiment pour lui. Il a failli retenté l'aventure il y a peu, sous l'influence de l'alcool, presque uni à une greluche entichée. Mais, le bien(mal)heureux est aujourd'hui célibataire. Parfois, il cherche un peu de compagnie pour réchauffer son pieu.

the player.
ton pseudo : vox populi.
ton âge : trois millions d'années pour les licornes martiennes. (vingt-deux ans en années terriennes).
inventé, pv, scenario ? : inventé
ton avis sur le forum ? : nanananananana.  leche

tes tics, tes manies, tes envies : (i.) On le croirait tout droit sorti d'un vieux western, avec ses frusques poussiéreuses, sa barbe de trois jours, le cuir râpeux, et cette aisance qu'il possède sur sa monture. Ozymandias, il a toujours été un peu comme ça : d'un autre temps, d'une autre époque. (ii.) Américain d'adoption, le gosse est né d'une espagnol et d'un britannique voyageur. C'est peut-être de là que vient son goût de l'aventure et de l'ailleurs. Né en Espagne, à Alméria, il a quitté la région à la mort de ses parents pour rejoindre un oncle éloigné qui vivait aux Etats-Unis. (iii.) As de la gâchette, il n'y a sans doute pas plus rapide que lui. Il aurait pu se faire armurier tant sa connaissance des armes est instinctive (le théorique non merci), il traîne d'ailleurs une vieille winchester, accrochée sur le holster intégré à sa selle. Mais qui vit par le colt, périt par lui, Ozymandias a échappé de peu à la mort et cela à plusieurs reprises. Une fois pendu, plusieurs fois abattus, l'homme est un dur à cuire mais conserve les cicatrices de ces mauvais passages. (iv.) petit merdeux au crâne rasé, vêtu d'un t-shirt crasseux, les yeux dans le vague. Il appréciait la compagnie des junkies comme lui, jusqu'à ce que son cousin se fasse happée par l'odieuse. Depuis il n'apprécie que la cigarette et la bouteille. Ce passage en enfer Ozymandias l'a vécu au cœur de la jungle urbaine. Alors, il s'est empressé de fuir et de retrouver les étendues sauvages tant chéries, tout comme la liberté dont on l'avait privé à la mort de sa mére. (v.) C'est l'ancien teigneux, la petite brute, adoucie et domestiquée par des années de galère et de souffrances. Il ne reste plus qu'une épave, une ruine, qui cherche l'absolution au fond de son verre. L’antihéros par excellence le gars. Pas bavard pour un sou, il fuit les discussions. Mais, il sait écouter et se taire. (vi.) Rejeton de deux hors la loi, Bonnie et Clyde version loosers, le gars était un rêveur un peu vulgaire, la femme était une gamine au regard de braise, enfant des rues, dont les seuls compagnons étaient quelques bouquins volés. (vii.)  Il s'enchaîne dans des relations destructrices, jouant bien assez vite le rôle de l'odieux, l'infecte, celui qui trompe, et abandonne. (vii.) L'homme a la fidélité qui lui colle au cœur et au corps. Ozymandias, chien fidèle, bon toutou (parfois), c'est le roquet qu'a pas peur d'aboyer pour défendre les quelques causes perdues dont il s'est entiché. C'est un peu un bon samaritain dans son genre, il peut aider, sans qu'on lui donne rien en échange, peut-être que c'est pour se racheter ou profiter, quelques instants, d'une présence amicale. (viii.) Il a vécu sur les routes, fugueur adolescent, trainant avec les vagabonds, les hobos ou les train rider. (ix.) Pistolero, chasseur de primes, le gars a toujours, pu presque, gagné sa croûte grâce à son flingue. Il ne cherche ni richesse, ni popularité.  

dans tes souvenirs, raconte-nous la première fois où tu as été confronté au « mal ». quelles étaient alors tes options et quel a été ton choix ? ✚ C'était un marmot à l'époque, encore dans les jupes de sa mère. Le mal, le vrai, il l'a aperçu au creux des yeux, dans les pas, dans les gestes des bâtards qui lui ont pris sa génitrice. Le mal, il l'a vu dans le sang qui creusait des sillons sur la terre sèche. L'innocence s'est brisée, dés lors brutalement tiré du petit paradis des Erskine. Depuis, il ne le quitte plus, dans ses actions, dans la rudesse qu'il met dans ses jugements, à la fois juge et bourreau, le mal, il l'annihile sans se rendre compte que celui s'est profondément enraciné en lui. Abyssus abyssum invocat, comme on dit.  tes choix de vie t'ont-ils déjà apporté des ennuis ? ✚ Il ne les compte plus. Mais est-ce vraiment des ennuis étant donner qu'il semble les chercher frénétiquement ? Les emmerdes c'était un moyen d'échapper à la monotonie du quotidien, un moyen de se perdre aussi. Des problèmes avec la loi, il en a eut. Moraux aussi, qui le dévore et le jette dans l'abîme. quelle importance accordes-tu à l'humanité dans son ensemble ? comment te comportes-tu socialement ?  ✚ L'humanité le fait gerber. Parfois. Quand il ne cherche par sa compagnie avant de fuir aussitôt. C'est cette relation ambiguë d'amour et de haine, de besoin, de désir. Avec les autres, il est bougon, distant, amer, mais calme, posé, alors on le tolére sans broncher ce grand gaillard taciturne et sombre. serais-tu plutôt la « tête » ou la « main » ? ✚ Des rôles par lesquels il est passé à un moment ou à un autre. Autrefois tête, puis main, désormais les frontières sont floues et s'entremêlent. Par la force des choses, il est la main, celle d'un homme impitoyable, d'hommes impitoyables qui ne voit chez lui qu'un outil, une arme docile... alors que la bête est moins domptable que ce qu'elle ne semble. quelles sont tes pires craintes et tes plus grandes angoisses ? ✚ Ses démons, les fantômes qui lui collent aux basques sans cesse. Les visages perdus, les êtres aimés... l'homme n'a peur de rien... ou presque. C'est le passé qui le débecte, ses choix, ses regrets. Il noie tout ça dans l'alcool et sous des draps. Quand ça suffit pas, il se colle un canon contre la tempe, quelques instants avant de reposer le flingue. Peut-être qu'un jour il pressera la détente, mais c'est ce même passé qui l’obsède qui le maintient en vie. dans ces adjectifs, le(s)quel(s) te définis(sent) le plus ? (indique les en gras)  improvisation, impétuosité, rêverie, instabilité, adaptivité, sens pratique, intuitivité, négligence, gaspillage, passivité, habitude, introversion.
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01.02.16 21:40


No more rain, no more roses.

I met a traveller from an antique land
Who said: "Two vast and trunkless legs of stone
Stand in the desert. Near them, on the sand,
Half sunk, a shattered visage lies.


Le vent souffle et bat avec rudesse les maisons de terres ocre. Le sable s'infiltre dans les vêtements, gratte, rougit la peau craquelée par le soleil. On devine des scènes fantômes dont les traces subsistent encore sur de vieilles bobines argentiques. Par ici, une ombre, on devinerait un chapeau, un colt, une monture. Le petit, les yeux brillants, court d'un endroit à un autre, effleure du bout des doigts un mur, une barrière usée. Devant lui ne se tiennent que des vestiges, des ruines, mais son imagination esquisse les contours depuis longtemps disparus. Puis, elle vient. Dans sa robe à imprimés fleuris, avec ces cheveux bruns qui virevoltent au vent, décoré par un bouton de rose glissé derrière l'oreille, et ses yeux émeraudes qui se posent sur son petit. Elle s'agenouille, sans crainte d’égratigner ses genoux, et réajuste le chapeau de cow-boy rivé sur la tête du gosse. Son gosse. Qui la regarde avec un air béat. C'est sa mére, rien qu'à lui. Il se revoit les rétines étincelantes, la fierté dans le regard qui discoure à sa classe. Sa mére, c'est la plus belle. Sa main au creux de la sienne, ils avancent, le chien de la famille, un vieux cabot, les suit avec peine. La scène a tout d'un songe. Au fond le soleil couchant jette une lueur orangée sur le paysage espagnol, et sans un mot ils admirent le lointain. Ozy, murmure-t-elle avec les accents doux et maternels.

Ozy. Elle l'a nommé ainsi parce qu'elle était rêveuse. Parce qu'elle dégustait ces ouvrages poussiéreux d'histoire et de poésie dont personne ne voulait plus, étalé sur le seuil d'une bibliothèque abandonnée. Parce qu'elle avait vu le nom et qu'elle était tombée amoureuse. Alors sa main caressait son ventre arrondi, regard tourné vers le gosse maigrichon qui l'avait fichu en cloques. Celui à la présence désormais effacée par l'attente de l'enfant. La petite brute qui s'attirait des ennuis, canon au poing, qui ravageait les banques, et descendaient les mauvais. C'était sa Bonnie, sa belle Bonnie, mais désormais elle aspirait à un peu de paix. A un nouveau butin, sa petite famille.

Ils quittent la ville, et la jeune femme accouche dans un petit patelin paumé. Le gosse grandit, pas vraiment sage à l'instar de ses parents, petite canaille qui s'attire les ennuis à peine sait-t-il marcher. Puis, le monde s'écroule, se teint de sang et de plomb. A peine plus haut que trois pommes, et l'enfant assiste à une mort brutale. Il ne doit son salut qu'a la femme qui lui a donné la vie, et dont la voix et les chants ne retentiront jamais plus.

And wrinkled lip, and sneer of cold command,
Tell that its sculptor well those passions read,
Which yet survive, stamped on these lifeless things,
The hand that mocked them and the heart that fed.



OZY. Outre-atlantique il n'est plus rien. Rien de plus qu'un marmot orphelin, accueillit par un oncle dépassé par les événements. Il y a un peu de pitié dans le regard du vieux, de désarroi aussi. Ozymandias, le gosse rouquin, c'est l'ombre dans la cours de récréation, la présence ombrageuse. C'est aussi la cible un peu trop facile qui s'égratigne les jointures sur les pommettes des brutes qui le prennent à part. C'est la petite teigne maigrichonne qui crache par terre, le dos se faisant rigide, qui gonfle le torse et exhibe un air assuré.

Il lui faut pas trop de temps pour qu'il se mette à traîner avec les ordures, les copains du cousin. Tout ça avant de vivre les premières clopes, les premiers amours, les premiers râteaux. Bientôt adolescent, il touche pas à la saloperie comme son cousin, à la piqure au creux du coude qui l’amène bientôt à la tombe. Alors, Ozymandias n'a plus rien. Son oncle existe à peine, la femme de celui-ci est une ruine depuis la mort de son fils. Le voici livré à lui même, dans cette grande maison qui résonnait autrefois des quelques rires et cris poussés par les comparses. Il lui faut pas longtemps avant de décider de mettre les voiles. C'est mieux pour tout le monde.

Le gars finit par s'en tirer plutôt bien, la survie coule dans ses veines. Baluchon sur l'épaule, son corps maigre se glisse dans les wagons de trains de marchandise. Il croise le chemin de mioches comme lui, parfois les suit, trace à la craie quelques signes pour les prochains. Ce sont les vagabonds juvéniles, les enfants perdus des rails. Il aspire à cette vie qui résonne au nom de la liberté, liberté illusoire dont le gringalet déguste chaque minute. Les boulots payés sous la table, les petits larcins lui permet de vivre assez confortablement. Les intempéries, les bagarres qui le laisse couvert de sang, n'ont pas raison de lui. La maladie si. La nourriture qui vient à manquer et le froid le laissent faiblard, aux portes de la mort. C'est un vieillard qui le recueille, le médecin d'un patelin paumé.  Allongé dans une chambre réchauffée par un vieux poêle, il tremble, se convulse avant de s'accrocher vainement à la vie.

Le jeune cause pas vraiment, le petit couple de vieux l'accueille sous son toit. On tolère sa présence, et il sait se rendre utile. Couper des bûches dans la forêt qui jouxte la demeure, aller chasser quelques lapins... rien de bien conséquent mais sa participation à la vie du foyer lui offre une place semi-définitive. Le docteur, un homme dans la soixantaine, le considère un peu comme un fils, celui qui remplace le trépassé. Mais Ozymandias, il a des pensées tout sauf fraternels à l'égard de la fille du couple. Mais, le mieux est toujours de rester muet. Leur petite amourette est un réconfort dans un quotidien rythmé par la violence de la petite ville du fin fond des bois. C'est sa Circé, la fille qui l'incite à rester, qui se blottit contre lui les yeux brillants. Celle qui le pousse à descendre l'assassin de son frère aussi. Rien que pour ses mirettes il accepte. Les frérots de la victime lui collent désormais aux basques, alors il préfère prendre la poudre d'escampette. Attrape la vieille Winchester que le vieux chérissait tant, qui lui avait promis aussi, et ses quelques affaires sous le bras, il part, la nuit couvrant ses traces.

Les années passent, du jeune homme chétif qui avait fuit les bras ouverts d'un ersatz familial, il ne subsiste plus qu'un gaillard couvert de cicatrices. Ozymandias, Ulysse des temps modernes, va de lieu en lieu, trouvant parfois objet de fascination qui incite à rester avant de repartir sur les routes. En quête d'un chez lui ? En quête de sens peut-être. Il voit défiler les employeurs. Le genre qui apprécie un gars qui cause pas trop, celui auquel on montre une cible, un type à descendre. Il s'attelle à la tâche, puis repart. La mort semble ne jamais vouloir de lui, l'affection des innocents ne le lâche pas, pourtant il le fuit. Il voit passer les amantes, deux fiancée, une femme aussi qu'il laisse derrière. Sur le dos de sa monture, cheval, moto, au volant de sa voiture, assis sur le rebord d'un wagon, le vagabond traverse les étendues, encore et toujours, le colt au poing, la rage au ventre. Sans jamais savoir pourquoi.

Avide de sang et de cri, d'une vengeance qui jamais ne viendrait, l'ombre sillonne les plaines, les bourgades, les jungles urbaines déchaînées. Puis, il se pose. Une certaine stabilité emplit son existence lorsqu'il devient homme de main. Le hasard le fait rejoindre les rangs d'un de ces seigneurs modernes, qui tiennent le pouvoir au creux de leurs mains. Bientôt, il se fait sauveur. Sauveur d'un mariage violent, d'une prison étroite. Il romps les liens en pressant la détente. Le sang de l'ancien patron gicle sous la balle de l'impitoyable homme de main qui chérit bien trop la liberté pour laisser cette femme goûter à l'amertume d'une union qui emprisonne. Avalon. C'est à sa requête qu'il met fin à la vie du mari, de son employeur. Sans aucun regret.

Nothing beside remains. Round the decay
Of that colossal wreck, boundless and bare,
The lone and level sands stretch far away.


OZYMANDIAS. La voix éclate à nouveau, crie son nom. Il ouvre péniblement les yeux. Sa bouche est emplie de terre, sa vision, floue. La voilà qui se tient à quelques pas de lui, elle braille paniquée, tenant fermement le bras d'une autre femme qui dévisage Ozymandias avec un regard de rapace. Dans leurs robes blanches crasseuses, elles tremblent à peine. Les causes perdues, celles pour qui les tâches rougies maculent ses vêtements, celles pour qui on l'a foutu alors qu'il respirait encore, sous plusieurs mètres de terre. Il tousse, il agonise. Tant bien que mal, les deux donzelles le redresse, agrippant ses vêtements en lambeaux, le posant sur leurs épaules frêles. Mais, son heure n'est pas encore arrivée. Les gosses l'arrachent à une mort certaine. Sur sa poitrine, une plaque de métal tordu. Adjoint du sheriff. La nomination avait une certaine ironie. Il y avait cet homme au regard dur qui lui proposa le goudron et les plumes ou bien la perspective prochaine de se retrouver entre quatre planches de chêne. Amer ultimatum. Qu'importait, il l'a accepté ses contraintes, ce nouveau rôle dans une ville pipeau, qui semble s'être arraché à des temps anciens. L'homme déambule dans les ruelles, abattant parfois au nom d'une justice illusoire. Le pouvoir étourdit, on est presque juge et bourreau.

Les deux gamines étaient venues taper à sa porte. Il avait ouvert, l'esprit encore embrumé par l'alcool. La requête était simple. Il avait refusé. Un vulgaire règlement de compte, une soif de vengeance insatiable qui faisait un effet miroir avec les souvenirs poussiéreux d'une autre vie. Il avait hésité. Il avait accepté, attrapant l'enveloppe lourde de billets qu'elles avaient déposés devant sa porte. La rencontre avait eut lieu à l'écart de la ville. Une bande de canailles, comme lui, assoiffés de sang, se tenait devant Ozymandias. La meute était presque trop forte pour lui, il en avait abattu quelques uns, le plus important, le chef. Il n'attendait rien, même pas le salut, juste la mort et la perte. C'était ses patronnes, les deux filles, qui étaient revenus, grattant la terre, alors qu'il avait été enterré vivant par les odieux survivants, battu presque à mort. Pourtant, celle-ci ne semblait toujours pas vouloir de lui, susurrant d'une voix rauque :

Pas aujourd'hui.

Invité
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01.02.16 21:42
Mein Herr !!!! :brill:

Re-bienvenue... Il promet aussi celui-la :keur:
Avalon-Jacy Wolf
It is madness for sheep to talk peace with a wolf. ∆
Avalon-Jacy Wolf
CARTOUCHES : 830


Bang bang.
TON JOB: gérante d'un casino et, accessoirement, blanchisseuse d'argent très sale.
TON AGE: vingt-neuf ans.
TES ENNEMIS, TES ALLIES:
01.02.16 21:43
:perv::perv: toi, j'te lâche pas. :siffle:
Invité
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01.02.16 21:48
Maxwell. sourcils Merci beaucoup ! :3 :brill:


Ah ben, y a intérêt, Ava ! ohyeah i'm a poor lonesome cowboy. + (ozy) 3859208376 seksyface
Avalon-Jacy Wolf
It is madness for sheep to talk peace with a wolf. ∆
Avalon-Jacy Wolf
CARTOUCHES : 830


Bang bang.
TON JOB: gérante d'un casino et, accessoirement, blanchisseuse d'argent très sale.
TON AGE: vingt-neuf ans.
TES ENNEMIS, TES ALLIES:
01.02.16 21:51
Et ce titre, l'homme qui tire plus vite que son ombre. :perv:
Invité
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01.02.16 21:53
A bien des titres d'ailleurs.


A bien des titres. i'm a poor lonesome cowboy. + (ozy) 2852843284

/est déjà dehors. clac
Avalon-Jacy Wolf
It is madness for sheep to talk peace with a wolf. ∆
Avalon-Jacy Wolf
CARTOUCHES : 830


Bang bang.
TON JOB: gérante d'un casino et, accessoirement, blanchisseuse d'argent très sale.
TON AGE: vingt-neuf ans.
TES ENNEMIS, TES ALLIES:
01.02.16 22:01
On est les reines des jeux d'mots. :siffle:
Invité
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01.02.16 23:47
ah que reuh' bienvenue ! :3
bonne chance pour l'écriture de ta fiche, cowboy ! >:3
Grim Cole
let's chase the dragon in my own way, would you ? ☯
Grim Cole
CARTOUCHES : 704


Bang bang.
TON JOB: proxénète de génie.
TON AGE: trente-neuf balais.
TES ENNEMIS, TES ALLIES:
02.02.16 8:31
L'homme qui tire plus vite que son ombre, c'est pas forcément un compliment i'm a poor lonesome cowboy. + (ozy) 223230905 :lol:
Joe, ce personnage envoie du pâté ** (j'ai pas tout lu mais ça va venir x)) et malgré le détestable intérêt que Ava à pour ce cher Ozy, j'vais te suivre fidèlement :brill:
Invité
Invité
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02.02.16 14:39
que de choix parfaits. i'm a poor lonesome cowboy. + (ozy) 3210751047 :brill:
rebienvenue. koeur
Invité
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02.02.16 16:56
J'adoooore ce que t'as écrit, ce personnage promet d'être génial. :dead:
BIENVENUUUE. :keur:
Invité
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02.02.16 18:23
CE PERSONNAGE + CE PSEUDO + CE TITRE + CET AVATAR. JE TE VEUX. :fou:

T'es trop parfait, comme d'habitude. J'ai mal à mes petits yeux, avec toute cette beauté. leche leche
Invité
Invité
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03.02.16 8:46
Hello
Marry-me
Bye.
Je t'aime.
Re bienvenue ♥
Avalon-Jacy Wolf
It is madness for sheep to talk peace with a wolf. ∆
Avalon-Jacy Wolf
CARTOUCHES : 830


Bang bang.
TON JOB: gérante d'un casino et, accessoirement, blanchisseuse d'argent très sale.
TON AGE: vingt-neuf ans.
TES ENNEMIS, TES ALLIES:
03.02.16 11:44
My god. :dead:i'm a poor lonesome cowboy. + (ozy) 3210751047
T'es à moi. :perv:
Invité
Invité
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03.02.16 11:51
Kali : Merci mon petit Kali, promis avec Ozy j'essaierais pas de t'adopter... peut-être. leche

Grim : Effectivement. :lol: Mais je suis positif je ne regardais que les bons côtés de ce surnom. :ange: En tout cas, merci beaucoup, je suis contente que le perso plaise, tu me réserveras un lien avec Grimou ! :hinhin:

Noé & Blanca : Merci beaucoup à vous les petits chous ! :hinhin:

Ivan :
Que de compliments. :sex: Venant de toi en plus, avec tes persos de fifous, je jubile merci trop plein Ivan ! i'm a poor lonesome cowboy. + (ozy) 3859208376 J'en perds mon latin. :lol:

Freyja :
Comment pourrais-je dire non ? MOUAH

Ava'
: Entièrement à toi ! seksyface Je t'appartiens désormais. larmes



Invité
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03.02.16 14:57
Welcome to Notown Blues ! I love you

Fassy en cowboy, le rêve ! Chope ton lasso et prend moi quand tu veux (a)
Invité
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03.02.16 22:17
Bienvenue,
j'ai hâte de lire vos rps toi et Avalon :aah:

J'ai adoré lire ta fiche, j'ai passé un moment charmant, thanks to you deary :keur:
Invité
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04.02.16 11:05
haaaaaaaaaan ** bienvenue sur le forum !! j'adore ton choix d'avatar !!!!! :D
bon courage pour ta fiche :D
Invité
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04.02.16 12:53
Bienvenue :héhé: Fassy leche leche leche leche leche
Invité
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05.02.16 21:50
Merci à vous tous ! cutsy Puis, tout ses compliments... vous me réservez des liens j’espère ? ohyeah Si vous voulez bien d'un vieux cow-boy bien sur... licorne
Avalon-Jacy Wolf
It is madness for sheep to talk peace with a wolf. ∆
Avalon-Jacy Wolf
CARTOUCHES : 830


Bang bang.
TON JOB: gérante d'un casino et, accessoirement, blanchisseuse d'argent très sale.
TON AGE: vingt-neuf ans.
TES ENNEMIS, TES ALLIES:
05.02.16 22:33
Tu me laisses toujours subjuguée. i'm a poor lonesome cowboy. + (ozy) 3210751047
Franchement, cette écriture, tout à fait poétique, j'adore, j'adhère, j'achète, bon, viens on rp ? :perv:
Invité
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05.02.16 23:02
Je sais plus où me mettre avec ces compliments. i'm a poor lonesome cowboy. + (ozy) 1121099709 Merci encore, je suis ravie que ce vieux Ozy soit à la hauteur de tes attentes. i'm a poor lonesome cowboy. + (ozy) 1710708364


Et : FUCKYEAH c'est quand tu veut pour le rp ! gnf gnf
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